Claude Bartolone, président de l'Assemblée nationale, est attendu aujourd'hui lundi, en milieu d'après-midi, en Seine-Maritime. Il s'arrêtera tout d'abord à 15 heures, à la mairie de Barentin où il rendra hommage à André Marie, ancien président radical du Conseil et maire de Barentin de 1945 à 1974 (une plaque sera dévoilée à cette occasion).
Claude Bartolone, président de l'Assemblée nationale
Il ira ensuite dans la commune voisine de Pavilly pour inaugurer, à 17 heures, les nouveaux locaux de la gendarmerie locale regroupant les anciennes brigades de Pavilly et de Barentin. Il sera accompagné de Nicolas Rouly, président du Conseil général de Seine-Maritime, du député Christophe Bouillon, du préfet Pierre-Henry Maccioni et du colonel Bruno Goudaillier, patron du groupement de gendarmerie.
Des locaux mieux adaptés aux besoins
Une inauguration attendue : le regroupement de la gendarmerie de Barentin, qui était à l’étroit sur un site ancien, et de celle de Pavilly, dont les locaux de service n’étaient plus adaptés, a pour but d’améliorer l’efficacité du service rendu par les deux brigades.
"Il s’agit d’un investissement important financé par le Département pour accompagner à la fois l’évolution du maillage du territoire par les forces de gendarmerie, l’adaptation des locaux aux besoins de service et pour améliorer le cadre de vie des gendarmes et de leurs familles", souligne-t-on au Conseil général.
Outre les bâtiments de service, 27 logements pour les familles et des logements pour les gendarmes adjoints ont été construits sur une surface totale de 4 230 m². La nouvelle brigade territoriale autonome (BTA), fonctionnelle depuis le 8 octobre dernier, compte 33 militaires commandés par un capitaine. Cette opération a représenté un coût global de 9 400 000 € dont 7 700 000 € consacrés aux travaux. Une subvention de 849 649 € a été accordée par l’Etat
53 millions d'euros consacrés à la sécurité
Dix gendarmeries en Seine-Maritime sont la propriété du Département : un patrimoine qu’il rénove ou reconstruit et qu’il loue à la Gendarmerie nationale.
Les communes s’engagent également, soit en étant elles-mêmes propriétaires des bâtiments, soit en soutenant les opérations de construction/rénovation, comme ce fut le cas à Pavilly avec la cession du terrain de la nouvelle caserne de gendarmerie par la ville de Pavilly à l’euro symbolique.
L'occasion pour le Conseil général de rappeler que chaque année, il consacre 53 millions d'euros à la sécurité des habitants du département. Une enveloppe qui englobe les crédits dédiés aux gendarmeries, ceux engagés dans le cadre du Collège départemental de sécurité routière et le financement du Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) dont le montant s'élève à 46,7 millions d’euros.
Des locaux mieux adaptés aux besoins
Une inauguration attendue : le regroupement de la gendarmerie de Barentin, qui était à l’étroit sur un site ancien, et de celle de Pavilly, dont les locaux de service n’étaient plus adaptés, a pour but d’améliorer l’efficacité du service rendu par les deux brigades.
"Il s’agit d’un investissement important financé par le Département pour accompagner à la fois l’évolution du maillage du territoire par les forces de gendarmerie, l’adaptation des locaux aux besoins de service et pour améliorer le cadre de vie des gendarmes et de leurs familles", souligne-t-on au Conseil général.
Outre les bâtiments de service, 27 logements pour les familles et des logements pour les gendarmes adjoints ont été construits sur une surface totale de 4 230 m². La nouvelle brigade territoriale autonome (BTA), fonctionnelle depuis le 8 octobre dernier, compte 33 militaires commandés par un capitaine. Cette opération a représenté un coût global de 9 400 000 € dont 7 700 000 € consacrés aux travaux. Une subvention de 849 649 € a été accordée par l’Etat
53 millions d'euros consacrés à la sécurité
Dix gendarmeries en Seine-Maritime sont la propriété du Département : un patrimoine qu’il rénove ou reconstruit et qu’il loue à la Gendarmerie nationale.
Les communes s’engagent également, soit en étant elles-mêmes propriétaires des bâtiments, soit en soutenant les opérations de construction/rénovation, comme ce fut le cas à Pavilly avec la cession du terrain de la nouvelle caserne de gendarmerie par la ville de Pavilly à l’euro symbolique.
L'occasion pour le Conseil général de rappeler que chaque année, il consacre 53 millions d'euros à la sécurité des habitants du département. Une enveloppe qui englobe les crédits dédiés aux gendarmeries, ceux engagés dans le cadre du Collège départemental de sécurité routière et le financement du Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) dont le montant s'élève à 46,7 millions d’euros.
Le casernement comprend 27 logements