Un petit trafiquant de résine de cannabis devra prochainement venir s'expliquer à la barre du tribunal correctionnel d'Evreux (Eure). A son domicile à Brionne, les gendarmes de la compagnie de Bernay, ont découvert 175 g de résine de cannabis, une arme de poing à air comprimé, deux couteaux (dont un poignard) ainsi que deux téléphones portables.
Le jeune homme de 23 ans a été démasqué dans le cadre d'une enquête ouverte par la communauté de brigades de Brionne, après la découverte de produits stupéfiants sur deux collégiens.
"C'est une affaire qui débute grâce à la vigilance d'une équipe pédagogique", indique ce jeudi soir la gendarmerie qui a été alertée le 13 janvier dernier par un établissement scolaire, situé dans l'arrondissement de Bernay.
Interrogés sur la provenance de la drogue dont ils étaient en possession, les deux élèves ont fourni quelques indications qui ont permis aux enquêteurs de remonter jusqu'à leur fournisseur.
Ce dernier a été interpellé et placé en garde à vue. Une perquisition, effectuée à son domicile avec le concours d'une équipe du groupe d'intervention cynophile (GIC) d'Évreux et la découverte d'éléments à charge permettront alors de le confondre définitivement.
Les consommateurs ont, quant à eux, d'ores et déjà fait l'objet d'un rappel à la loi avec une injonction thérapeutique.
Le jeune homme de 23 ans a été démasqué dans le cadre d'une enquête ouverte par la communauté de brigades de Brionne, après la découverte de produits stupéfiants sur deux collégiens.
"C'est une affaire qui débute grâce à la vigilance d'une équipe pédagogique", indique ce jeudi soir la gendarmerie qui a été alertée le 13 janvier dernier par un établissement scolaire, situé dans l'arrondissement de Bernay.
Interrogés sur la provenance de la drogue dont ils étaient en possession, les deux élèves ont fourni quelques indications qui ont permis aux enquêteurs de remonter jusqu'à leur fournisseur.
Ce dernier a été interpellé et placé en garde à vue. Une perquisition, effectuée à son domicile avec le concours d'une équipe du groupe d'intervention cynophile (GIC) d'Évreux et la découverte d'éléments à charge permettront alors de le confondre définitivement.
Les consommateurs ont, quant à eux, d'ores et déjà fait l'objet d'un rappel à la loi avec une injonction thérapeutique.