Capture d'écran@périscope
Le démantèlement du campement de la jungle de Calais a commencé ce matin. Cette opération se poursuivra sur plusieurs jours.
Aujourd'hui, lundi 24 octobre, 306 migrants devaient être accueillis dans les centres d'accueil et d'orientation (CAO) répartis dans l'ensemble de la région Normandie. En Seine-Maritime, 98 migrants ont été accueillis dans 6 centres d'accueil et d'orientation (CAO) et une centaine dans l'Eure (Evreux, Serquigny et Perriers-la-Campagne).
"Les onze CAO du département de Seine-Maritime sont gérés par les associations Coallia, Adoma, Carrefour des solidarités, Comité d’action et de promotion sociales (CAPS), Œuvre normande des mères (ONM), AFPA et Ensemble, partenaires habituels de l’État qui en assure 100% du financement. Outre un accompagnement administratif, elles proposeront à ces personnes un soutien sanitaire et social", précise la préfecture de région ce soir dans un communiqué.
La préfecture de Seine-Maritime : "Les centres d’accueil et d'orientation ont pour vocation d’offrir “un temps de répit” aux migrants afin de leur permettre de reconsidérer leur projet migratoire".
Certains migrants sont déjà demandeurs d’asile, d’autres n’ont pas encore engagé la démarche mais y sont ouverts. "Les CAO sont là pour accueillir ces personnes et les accompagner vers cette voie".
Les CAO sont créés dans des structures existantes qui possèdent des places d’hébergement mobilisables pendant une période donnée et qui comprennent hébergement, sanitaires et restauration. Ces CAO sont choisis à partir de différents critères : disponibilité des places, situation géographique, possibilité de mettre en place un accompagnement social par des opérateurs spécialisés pour ce type de public ainsi qu’une prise en charge sanitaire. Ils ne doivent pas être trop isolés, notamment pour permettre aux personnes d’effectuer démarches et formalités.
"Les places en CAO ne se substituent en aucun cas aux places dédiées aux demandeurs d’asile, ni aux places mobilisées dans le cadre de la période hivernale", rappellent les autorités préfectorales.
Aujourd'hui, lundi 24 octobre, 306 migrants devaient être accueillis dans les centres d'accueil et d'orientation (CAO) répartis dans l'ensemble de la région Normandie. En Seine-Maritime, 98 migrants ont été accueillis dans 6 centres d'accueil et d'orientation (CAO) et une centaine dans l'Eure (Evreux, Serquigny et Perriers-la-Campagne).
"Les onze CAO du département de Seine-Maritime sont gérés par les associations Coallia, Adoma, Carrefour des solidarités, Comité d’action et de promotion sociales (CAPS), Œuvre normande des mères (ONM), AFPA et Ensemble, partenaires habituels de l’État qui en assure 100% du financement. Outre un accompagnement administratif, elles proposeront à ces personnes un soutien sanitaire et social", précise la préfecture de région ce soir dans un communiqué.
La préfecture de Seine-Maritime : "Les centres d’accueil et d'orientation ont pour vocation d’offrir “un temps de répit” aux migrants afin de leur permettre de reconsidérer leur projet migratoire".
Certains migrants sont déjà demandeurs d’asile, d’autres n’ont pas encore engagé la démarche mais y sont ouverts. "Les CAO sont là pour accueillir ces personnes et les accompagner vers cette voie".
Les CAO sont créés dans des structures existantes qui possèdent des places d’hébergement mobilisables pendant une période donnée et qui comprennent hébergement, sanitaires et restauration. Ces CAO sont choisis à partir de différents critères : disponibilité des places, situation géographique, possibilité de mettre en place un accompagnement social par des opérateurs spécialisés pour ce type de public ainsi qu’une prise en charge sanitaire. Ils ne doivent pas être trop isolés, notamment pour permettre aux personnes d’effectuer démarches et formalités.
"Les places en CAO ne se substituent en aucun cas aux places dédiées aux demandeurs d’asile, ni aux places mobilisées dans le cadre de la période hivernale", rappellent les autorités préfectorales.