Huit moutons avaient déjà été égorgés et soixante autres attendaient de subir le même sort (Illustration)
Un éleveur d'ovins de Ferrières-en-Bray en Seine-Maritime a été placé en garde à vue lundi matin par les gendarmes de Gournay-en-Bray. Il est soupçonné d'avoir ouvert dans son exploitation un abattoir clandestin à l'occasion de la fête musulmane de l'Aïd El-Kébir.
C'est probablement à la suite d'une dénonciation ou d'un renseignement anonyme que cet éleveur "dûment répertorié", selon une source judiciaire, a reçu la visite matinale lundi 12 septembre des gendarmes de la compagnie de Beauvais (Oise) et de la brigade de Gournay-en-Bray mais aussi des inspecteurs de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) de Seine-Maritime.
A cette occasion, les enquêteurs ont découvert la présence d'un abattoir clandestin, en infraction avec la réglementation en matière d'hygiène. Huit moutons avaient déjà été égorgés et soixante autres étaient dans l'attente de subir le même sort.
15 000 € d'amende et 6 mois de prison
Le propriétaire des lieux à confirmé, lors de son audition, avoir permis l'abattage d'ovins dans sa ferme, afin de permettre à ses clients d'égorger leurs moutons et de les découper sur place selon le rite de l’Aïd El-Kébir.
L'éleveur encourt une amende de 15 000€ et une peine de six mois d'emprisonnement.
C'est probablement à la suite d'une dénonciation ou d'un renseignement anonyme que cet éleveur "dûment répertorié", selon une source judiciaire, a reçu la visite matinale lundi 12 septembre des gendarmes de la compagnie de Beauvais (Oise) et de la brigade de Gournay-en-Bray mais aussi des inspecteurs de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) de Seine-Maritime.
A cette occasion, les enquêteurs ont découvert la présence d'un abattoir clandestin, en infraction avec la réglementation en matière d'hygiène. Huit moutons avaient déjà été égorgés et soixante autres étaient dans l'attente de subir le même sort.
15 000 € d'amende et 6 mois de prison
Le propriétaire des lieux à confirmé, lors de son audition, avoir permis l'abattage d'ovins dans sa ferme, afin de permettre à ses clients d'égorger leurs moutons et de les découper sur place selon le rite de l’Aïd El-Kébir.
L'éleveur encourt une amende de 15 000€ et une peine de six mois d'emprisonnement.