Sous le feu des questions des policiers, la fillette a fini par craquer : elle a avoué avoir tout inventé - illustration
Elle a fini par avouer, sous le feu des questions des policiers, qu’elle avait tout inventé. Le récit de l’écolière âgée de dix ans semblait pourtant crédible.
Les faits supposés se déroulent ce vendredi 18 septembre. Vers 17h15, les policiers recueillent le témoignage d’une fillette affirmant avoir été enlevée et séquestrée à la sortie de l’école.
Les faits supposés se déroulent ce vendredi 18 septembre. Vers 17h15, les policiers recueillent le témoignage d’une fillette affirmant avoir été enlevée et séquestrée à la sortie de l’école.
Emmenée dans une chambre d’hôtel
Elle raconte qu’elle a quitté l’école Paul-Bert, à Conflans-Sainte-Honorine, à 16h30. Elle marche en direction du domicile familial quand un homme la saisit par le bras, lui met la main sur la bouche pour l’empêcher de crier et l’emmène dans une chambre d’hôtel.
Dans sa version des faits, elle précise que l’homme n’a exercé « aucune violence ni sévice » envers elle. Elle affirme enfin avoir réussi à s’enfuir en profitant d’un moment d’inattention de son kidnappeur.
Dans sa version des faits, elle précise que l’homme n’a exercé « aucune violence ni sévice » envers elle. Elle affirme enfin avoir réussi à s’enfuir en profitant d’un moment d’inattention de son kidnappeur.
Elle s’embrouille dans ses déclarations
Dans ses déclarations, la fillette met alors en cause un adolescent de 17 ans qui est interpellé et placé en garde à vue.
Lors de la confrontation avec les enquêteurs du service de nuit départemental (SND), la fillette s’embrouille et finit par admettre que tout l’histoire est entièrement fausse.
Mis hors de cause, le jeune homme a recouvré sa liberté. Quant à son accusatrice, elle devra rendre des comptes.
Lors de la confrontation avec les enquêteurs du service de nuit départemental (SND), la fillette s’embrouille et finit par admettre que tout l’histoire est entièrement fausse.
Mis hors de cause, le jeune homme a recouvré sa liberté. Quant à son accusatrice, elle devra rendre des comptes.