Le quadragénaire a passé la nuit en cellule de dégrisement avant de pouvoir être auditionné - Illustration © DGPN
Boire ou conduire. Le slogan de la sécurité routière, vieux de quelques années, n'a pas pris une ride. Aux dépens d'un automobiliste qui a été contrôlé avec plus de 2,60 g dans le sang dans la soirée d'hier par les policiers à Bolbec (Seine-Maritime).
Au départ, les gardiens de la paix bolbécais sont appelés à se rendre rue du 11-Novembre où un témoin a signalé la présence, arrêtée au milieu de la route, d'une Peugeot 3008. En fait, le véhicule vient de percuter une Renault Koléos en stationnement. Le choc a été violent : les deux voitures sont inutilisables, relate une source policière.
Au départ, les gardiens de la paix bolbécais sont appelés à se rendre rue du 11-Novembre où un témoin a signalé la présence, arrêtée au milieu de la route, d'une Peugeot 3008. En fait, le véhicule vient de percuter une Renault Koléos en stationnement. Le choc a été violent : les deux voitures sont inutilisables, relate une source policière.
En état de récidive
Le conducteur de la 3008, indemne et toujours sur place, ne semble pas au mieux de sa forme. Et quand les policiers le font souffler, l'étyhylomètre affiche un taux de 1,33 mg par litre d'air expiré, soit 2,66 grammes d'alcool par litre de sang.
L'homme de 46 ans, en état de récidive, est invité à suivre les policiers au commissariat où il sera placé en cellule de dégrisement puis en garde à vue pour être auditionné dès que son état le permettra.
L'homme de 46 ans, en état de récidive, est invité à suivre les policiers au commissariat où il sera placé en cellule de dégrisement puis en garde à vue pour être auditionné dès que son état le permettra.