Le bloc de béton a été déposé sur les voies à proximité du passage à niveau 41 (illustration@Google Maps)
Acte de malveillance ou tentative de sabotage visant la SNCF ? Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de l'Eure qui prend "l'affaire très au sérieux".
Hier soir, mercredi 12 octobre, peu avant 17 heures 30, un train de voyageurs intercités assurant la liaison Granville - Paris a percuté un bloc de béton qui entravait la voie ferrée à hauteur de Nonancourt (Eure), à proximité du passage à niveau 41.
Pas de blessé mais des retards
Les dégâts sur le train ne seraient pas très importants mais cet incident a entraîné un retard de 7 minutes sur son horaire habituel a l'arrivée à Paris.
Un autre train qui circulait dans le sens inverse (Paris - Granville) s'est arrêté pour dégager les voies du morceau de béton pulvérisé. Il s'agissait, selon les enquêteurs, d'un cube en béton servant de regard d'assainissement. Le Paris-Granville est quant à lui arrivé à destination avec 20 minutes de retard.
La SNCF dépose plainte
La SNCF confirme à Infonormandie les faits qui ont impacté trois trains et occasionné 40 minutes de retard au total. Une plainte a été déposée, précise-t-on.
Cet incident pour le moins grave n'est pas le premier à être constaté dans l'Eure. Le 15 septembre dernier, dans le même secteur et à proximité d'un pont, des grosses pierres ( il s'agirait d'une plaque d'égout, selon la SNCF) avaient été disposées sur les voies de cette même ligne.
Un Paris-Deauville caillassé
Dix jours plus tôt, un train de voyageurs assurant la liaison Paris - Deauville Arte victime d'un caillassage au niveau de la gare de La Bonneville-sur-Iton, une commune située à quelques kilomètres d'Évreux. Deux vitres ont volé en éclats, sans faire de blessé.
Les gendarmes de Nonancourt ont ouvert une enquête pour dépôt d'objets pouvant entraver la circulation des trains. Des constatations de police technique et scientifique ont été confiées à la cellule d'identification criminelle (CIC) d'Évreux.
La gendarmerie rappelle que le ou les auteurs de ces faits (il s'agit d'un délit) encourent 6 mois d'emprisonnement et 3750 € d'amende.
Hier soir, mercredi 12 octobre, peu avant 17 heures 30, un train de voyageurs intercités assurant la liaison Granville - Paris a percuté un bloc de béton qui entravait la voie ferrée à hauteur de Nonancourt (Eure), à proximité du passage à niveau 41.
Pas de blessé mais des retards
Les dégâts sur le train ne seraient pas très importants mais cet incident a entraîné un retard de 7 minutes sur son horaire habituel a l'arrivée à Paris.
Un autre train qui circulait dans le sens inverse (Paris - Granville) s'est arrêté pour dégager les voies du morceau de béton pulvérisé. Il s'agissait, selon les enquêteurs, d'un cube en béton servant de regard d'assainissement. Le Paris-Granville est quant à lui arrivé à destination avec 20 minutes de retard.
La SNCF dépose plainte
La SNCF confirme à Infonormandie les faits qui ont impacté trois trains et occasionné 40 minutes de retard au total. Une plainte a été déposée, précise-t-on.
Cet incident pour le moins grave n'est pas le premier à être constaté dans l'Eure. Le 15 septembre dernier, dans le même secteur et à proximité d'un pont, des grosses pierres ( il s'agirait d'une plaque d'égout, selon la SNCF) avaient été disposées sur les voies de cette même ligne.
Un Paris-Deauville caillassé
Dix jours plus tôt, un train de voyageurs assurant la liaison Paris - Deauville Arte victime d'un caillassage au niveau de la gare de La Bonneville-sur-Iton, une commune située à quelques kilomètres d'Évreux. Deux vitres ont volé en éclats, sans faire de blessé.
Les gendarmes de Nonancourt ont ouvert une enquête pour dépôt d'objets pouvant entraver la circulation des trains. Des constatations de police technique et scientifique ont été confiées à la cellule d'identification criminelle (CIC) d'Évreux.
La gendarmerie rappelle que le ou les auteurs de ces faits (il s'agit d'un délit) encourent 6 mois d'emprisonnement et 3750 € d'amende.