L’homme alcoolisé a été admis dans la nuit au service des urgences de l’hôpital de Lillebonne
Le personnel du service des urgences de l’hôpital Caux-Vallée de Seine à Lillebonne (Seine-Maritime) a été pour le moins malmené par un patient particulièrement violent.
Dans la nuit du 30 juin au 1re juillet, un homme est admis aux urgences après avoir été victime d’un malaise suite à une alcoolisation excessive. L’homme, âgé de 36 ans et domicilié à Mannevilette, était fortement excité. Il s’en est pris aux soignants en les insultant et menaçant de mort.
Dans la nuit du 30 juin au 1re juillet, un homme est admis aux urgences après avoir été victime d’un malaise suite à une alcoolisation excessive. L’homme, âgé de 36 ans et domicilié à Mannevilette, était fortement excité. Il s’en est pris aux soignants en les insultant et menaçant de mort.
Il dégrade du matériel en sortant de l’hôpital
Face à ce comportement violent, et pour sa sécurité. le mis en cause a dû être attaché jusqu’à son dégrisement. Autorisé à sortir de l’hôpital le lendemain matin, il s’en est pris cette fois au matériel de l’hôpital qu’il a dégradé.
De retour à son domicile, l’individu a encore profèré par téléphone des menaces de mort envers le personnel hospitalier.
L’affaire ne s’arrête pas là. Dans la soirée du 1re juillet, vers 20 heures, l’homme, très alcoolisé, est revenu au service des urgences et a réitéré ses menaces de mort et insultes envers les soignants. Appelés à intervenir, des policiers municipaux ont été eux aussi insultés et menacés.
De retour à son domicile, l’individu a encore profèré par téléphone des menaces de mort envers le personnel hospitalier.
L’affaire ne s’arrête pas là. Dans la soirée du 1re juillet, vers 20 heures, l’homme, très alcoolisé, est revenu au service des urgences et a réitéré ses menaces de mort et insultes envers les soignants. Appelés à intervenir, des policiers municipaux ont été eux aussi insultés et menacés.
Il ne voulait pas être attaché
Maitrisé et Interpellé par la police nationale le mis en cause a été placé en garde à vue au commissariat de Bolbec. Lors de audition, il a reconnu les faits reprochés expliquant qu’il « était en colère et ne voulait pas être attaché ».
Il a été remis en liberté après s’être vu notifier une convocation pour le 5 mai 2023 devant le tribunal judiciaire.
Quatre plaintes ont été déposées par les victimes, trois par du personnel soignant et une par un policier municipal de Port-Jérome-sur-Seine.
Il a été remis en liberté après s’être vu notifier une convocation pour le 5 mai 2023 devant le tribunal judiciaire.
Quatre plaintes ont été déposées par les victimes, trois par du personnel soignant et une par un policier municipal de Port-Jérome-sur-Seine.