Une habitante de Harfleur, près du Havre, âgée de 33 ans, sera jugée le 1er décembre 2016 devant le tribunal correctionnel du Havre pour violences sur personne chargée d'une mission de service publique. Les victimes sont deux agents des impôts, deux femmes âgées de 48 et 43 ans.
Les faits remontent au 17 août dernier. Magalie* se présente à l'accueil du centre des finances publiques, avenue du Général Leclerc, à proximité de la mairie du Havre. Elle souhaite des renseignements sur sa situation fiscale. La réponse de l'employée ne la satisfaisant pas, elle la prend alors à partie verbalement et lui crache dessus.
Une autre employée témoin des faits s'approche et tente de s'interposer. Elle demande à Magalie de se calmer mais en guise de réponse elle frappe violemment l'agent des impôts. L'agresseur est finalement maîtrisée par un autre témoin venu prêter main forte aux deux employées.
Médicaments et alcool
Placée en garde au commissariat du Havre, Magalie a expliqué son comportement agressif et violent par le fait qu'elle aurait pris des médicaments et bu de l'alcool. Défavorablement connue des services de police, la mise en cause s'est vu notifier une convocation en justice par officier de police judiciaire (COPJ) avant d'être remise en liberté.
* Le prénom a été changé
Les faits remontent au 17 août dernier. Magalie* se présente à l'accueil du centre des finances publiques, avenue du Général Leclerc, à proximité de la mairie du Havre. Elle souhaite des renseignements sur sa situation fiscale. La réponse de l'employée ne la satisfaisant pas, elle la prend alors à partie verbalement et lui crache dessus.
Une autre employée témoin des faits s'approche et tente de s'interposer. Elle demande à Magalie de se calmer mais en guise de réponse elle frappe violemment l'agent des impôts. L'agresseur est finalement maîtrisée par un autre témoin venu prêter main forte aux deux employées.
Médicaments et alcool
Placée en garde au commissariat du Havre, Magalie a expliqué son comportement agressif et violent par le fait qu'elle aurait pris des médicaments et bu de l'alcool. Défavorablement connue des services de police, la mise en cause s'est vu notifier une convocation en justice par officier de police judiciaire (COPJ) avant d'être remise en liberté.
* Le prénom a été changé