Illustration @ Pixabay
Compte tenu des conditions atmosphériques défavorables, une pollution de l'air par les particules en suspension est prévue sur la Seine-Maritime ce samedi 18 mai. Pour cette raison, la procédure d'information et de recommandations a été déclenchée à destination des personnes sensibles et vulnérables (lire ci-dessous).
Ces particules (ou poussières) sont de petites tailles. D'origine locale ou plus lointaine, leur composition peut être très variée : naturelle ou liée à l'activité humaine (chauffage, industrie, trafic, agriculture).
Populations vulnérables : Femmes enceintes, nourrissons et jeunes enfants, personnes de plus de 65 ans, personnes souffrant de pathologies cardiovasculaires, insuffisants cardiaques ou respiratoires, personnes asthmatiques.
Populations sensibles : Personnes se reconnaissant comme sensibles lors des pics de pollution et/ou dont les symptômes apparaissent ou sont amplifiés lors des pics (par exemple : personnes diabétiques, personnes immunodéprimées, personnes souffrant d’affections neurologiques ou à risque cardiaque, respiratoire, infectieux).
Il convient de maintenir les pratiques habituelles de ventilation et d'aération (la situation, lors d'un épisode de pollution, ne justifie pas des mesures de confinement) et de ne pas aggraver les effets de cette pollution en s'exposant à des facteurs irritants supplémentaires : fumée de tabac, utilisation de solvants en espace intérieur, chauffage au bois, exposition aux pollens en saison...
EN SAVOIR + sur le site Atmo Normandie
Ces particules (ou poussières) sont de petites tailles. D'origine locale ou plus lointaine, leur composition peut être très variée : naturelle ou liée à l'activité humaine (chauffage, industrie, trafic, agriculture).
Populations vulnérables : Femmes enceintes, nourrissons et jeunes enfants, personnes de plus de 65 ans, personnes souffrant de pathologies cardiovasculaires, insuffisants cardiaques ou respiratoires, personnes asthmatiques.
Populations sensibles : Personnes se reconnaissant comme sensibles lors des pics de pollution et/ou dont les symptômes apparaissent ou sont amplifiés lors des pics (par exemple : personnes diabétiques, personnes immunodéprimées, personnes souffrant d’affections neurologiques ou à risque cardiaque, respiratoire, infectieux).
Il convient de maintenir les pratiques habituelles de ventilation et d'aération (la situation, lors d'un épisode de pollution, ne justifie pas des mesures de confinement) et de ne pas aggraver les effets de cette pollution en s'exposant à des facteurs irritants supplémentaires : fumée de tabac, utilisation de solvants en espace intérieur, chauffage au bois, exposition aux pollens en saison...
EN SAVOIR + sur le site Atmo Normandie
Les recommandations de la préfecture
Afin de contribuer à la réduction des émissions de particules en suspension, le préfet de Seine-Maritime recommande :
Aux usagers de la route, de privilégier le recours au covoiturage, de favoriser les déplacements en transports en commun, d’abaisser sa vitesse de 20 km/h sur les routes départementales, les quatre voies et les autoroutes. Aux particuliers, de limiter le recours aux feux de cheminée d’agrément et de maîtriser la température de chauffage des logements : "1°C de plus, c’est 7% de consommation d’énergie en plus !" Aux entreprises de travaux publics, de mettre en place sur les chantiers des mesures visant à réduire les émissions de poussières; d’éviter d’utiliser de groupes électrogènes sauf raison de sécurité. Aux industriels, de s'assurer du bon état et du bon fonctionnement des installations de combustion et des dispositifs antipollution; de reporter, si possible, les opérations qui pourraient être à l’origine d’émissions atmosphériques polluantes inhabituelles; de reporter le démarrage d’unités à l’arrêt à la fin de l’épisode de pollution. Aux entreprises et administrations : d'adapter les modalités de travail de leurs agents. Si les moyens le permettent, le recours au télétravail, à l'audio conférence ou à la visioconférence est recommandé. Aux agriculteurs : de reporter les opérations qui pourraient être à l'origine d'émissions atmosphériques polluantes. Le brûlage des déchets verts à l’air libre est interdit.
Aux usagers de la route, de privilégier le recours au covoiturage, de favoriser les déplacements en transports en commun, d’abaisser sa vitesse de 20 km/h sur les routes départementales, les quatre voies et les autoroutes. Aux particuliers, de limiter le recours aux feux de cheminée d’agrément et de maîtriser la température de chauffage des logements : "1°C de plus, c’est 7% de consommation d’énergie en plus !" Aux entreprises de travaux publics, de mettre en place sur les chantiers des mesures visant à réduire les émissions de poussières; d’éviter d’utiliser de groupes électrogènes sauf raison de sécurité. Aux industriels, de s'assurer du bon état et du bon fonctionnement des installations de combustion et des dispositifs antipollution; de reporter, si possible, les opérations qui pourraient être à l’origine d’émissions atmosphériques polluantes inhabituelles; de reporter le démarrage d’unités à l’arrêt à la fin de l’épisode de pollution. Aux entreprises et administrations : d'adapter les modalités de travail de leurs agents. Si les moyens le permettent, le recours au télétravail, à l'audio conférence ou à la visioconférence est recommandé. Aux agriculteurs : de reporter les opérations qui pourraient être à l'origine d'émissions atmosphériques polluantes.