Après le magasin Lidl, braqué le 20 octobre à Saint-Etienne-du-Rouvray, par un individu ganté et cagoulé, c'est maintenant l'enseigne Aldi implantée elle aussi dans la même commune, rue de Paris, qui a fait l'objet d'une extorsion aggravée, par un homme seul, cagoulé.
Les faits se sont déroulés hier matin (mercredi) aux alentours de 7 heures. Deux employés du supermarché venaient de prendre leur service quand un inconnu, le visage dissimulé par une cagoule et couteau à la main, s'est présenté dans le magasin. L'homme a exhibé son arme et a littéralement menacé ses victimes, une femme de 28 ans et un homme de 23 ans.
Les faits se sont déroulés hier matin (mercredi) aux alentours de 7 heures. Deux employés du supermarché venaient de prendre leur service quand un inconnu, le visage dissimulé par une cagoule et couteau à la main, s'est présenté dans le magasin. L'homme a exhibé son arme et a littéralement menacé ses victimes, une femme de 28 ans et un homme de 23 ans.
Lidl braqué trois jours plus tôt
Conduisant les deux employés vers les caisses, le malfaiteur solitaire s'est fait remettre leur contenu, soit quelques centaines d'euros, puis a pris la fuite à pied. Les recherches n'ont pas permis aux policiers de le retrouver.
Dimanche dernier, c'est le supermarché Lidl, situé sur l'avenue des Canadiens à Saint-Etienne-du-Rouvray, qui a connu le même sort. Vers 6 heures, un individu, gante ét cagoulé, a fait irruption dans le magasin et s'est fait remettre le contenu des tiroirs-caisses. A ce jour, il n'a pas été interpellé.
Les deux enquêtes ont été confiées au service interdépartemental de police judiciaire (Sipj). Les policiers n'excluent pas la piste du « braqueur de proximité ».
Dimanche dernier, c'est le supermarché Lidl, situé sur l'avenue des Canadiens à Saint-Etienne-du-Rouvray, qui a connu le même sort. Vers 6 heures, un individu, gante ét cagoulé, a fait irruption dans le magasin et s'est fait remettre le contenu des tiroirs-caisses. A ce jour, il n'a pas été interpellé.
Les deux enquêtes ont été confiées au service interdépartemental de police judiciaire (Sipj). Les policiers n'excluent pas la piste du « braqueur de proximité ».