L'auteur présumé du braquage du magasin discount Lidl samedi 22 mars à Grand-Couronne a été interpellé quelques heures après les faits.
Le malfaiteur, rapidement identifié et localisé par les enquêteurs du SRPJ de Rouen, a été appréhendé à son domicile dans le quartier de la Mare Rouge, au Havre, vers 14 heures. Le suspect est actuellement entendu sur les faits dont il est soupçonné, mais aussi sur d'autres qui pourraient lui être imputés, à savoiir une série de cinq à six vols à main armée commis contre des commerces dans l'agglomération de Rouen.
Déféré au palais de justice ce soir
Mardi, le braqueur, encagoulé, qui s'est attaqué au Lidl de la rue Léon Blum était armé d'une bonbonne de gaz lacrymogène. Il a fait irruption dans la magasin avant son ouverture vers 6 heures et alors que deux employées étaient occupées à remlir les rayons. Sous la menace, il les a contraintes à le conduire au coffre-fort. Il s'est emparé de l'argent qu'il contenait.
Des éléments, recueillis lors du braquage auprès d'un témoin ou par le biais de l'exploitation d'une vidéosurveillance, ont probablement permis aux policiers de remonter jusqu'à lui grâce notamment au numéro d'immatriculation de sa voiture.
Le mis en cause devrait être présenté dans la soirée à un magistrat du parquet de Rouen, en vue de sa mise en examen.
Le malfaiteur, rapidement identifié et localisé par les enquêteurs du SRPJ de Rouen, a été appréhendé à son domicile dans le quartier de la Mare Rouge, au Havre, vers 14 heures. Le suspect est actuellement entendu sur les faits dont il est soupçonné, mais aussi sur d'autres qui pourraient lui être imputés, à savoiir une série de cinq à six vols à main armée commis contre des commerces dans l'agglomération de Rouen.
Déféré au palais de justice ce soir
Mardi, le braqueur, encagoulé, qui s'est attaqué au Lidl de la rue Léon Blum était armé d'une bonbonne de gaz lacrymogène. Il a fait irruption dans la magasin avant son ouverture vers 6 heures et alors que deux employées étaient occupées à remlir les rayons. Sous la menace, il les a contraintes à le conduire au coffre-fort. Il s'est emparé de l'argent qu'il contenait.
Des éléments, recueillis lors du braquage auprès d'un témoin ou par le biais de l'exploitation d'une vidéosurveillance, ont probablement permis aux policiers de remonter jusqu'à lui grâce notamment au numéro d'immatriculation de sa voiture.
Le mis en cause devrait être présenté dans la soirée à un magistrat du parquet de Rouen, en vue de sa mise en examen.