Un quadragénaire est convoqué devant le tribunal correctionnel d'Evreux pour le 9 novembre prochain. Il devra alors s'expliquer devant les juges sur le comportement qui a été le sien ce lundi 6 avril, au Vaudreuil (Eure) et qui l'ont conduit en garde à vue.
Il est un peu plus de 23 heures. Police-secours, via le 17, est informé qu'un homme se livre à du tapage et vocifère sur la voie publique. Une patrouille arrive sur place et constate en effet la présence d'un homme visiblement très excité qui s'agite. A la vue des uniformes, l'individu se débarrasse d'une haltère. Puis, il insulte copieusement les policiers. Il est interpellé. Sur lui, un couteau à cran d'arrêt, arme de catégorie D, est découverte.
L'homme, visiblement fortement alcoolisé, refuse de se soumettre à un dépistage à l'éthylotest. Il est néanmoins ramené au commissariat de police de Val-de-Reuil où il est placé d'abord en dégrisement puis en garde à vue.
Auditionné le lendemain matin, il reconnaît les faits mais explique qu'il a agi ainsi à cause de l'alcool. N'empêche qu'il a fait l'objet d'une proécédure pour outrages sur personne dépositaire de l'autorité publique, port d'arme et refus de se soumettre à un dépistage d'alcoolémie. Il a été remis en liberté avec une convocation en comparution sur reconnaissance préalable de culpabitité (CRPC).
Il est un peu plus de 23 heures. Police-secours, via le 17, est informé qu'un homme se livre à du tapage et vocifère sur la voie publique. Une patrouille arrive sur place et constate en effet la présence d'un homme visiblement très excité qui s'agite. A la vue des uniformes, l'individu se débarrasse d'une haltère. Puis, il insulte copieusement les policiers. Il est interpellé. Sur lui, un couteau à cran d'arrêt, arme de catégorie D, est découverte.
L'homme, visiblement fortement alcoolisé, refuse de se soumettre à un dépistage à l'éthylotest. Il est néanmoins ramené au commissariat de police de Val-de-Reuil où il est placé d'abord en dégrisement puis en garde à vue.
Auditionné le lendemain matin, il reconnaît les faits mais explique qu'il a agi ainsi à cause de l'alcool. N'empêche qu'il a fait l'objet d'une proécédure pour outrages sur personne dépositaire de l'autorité publique, port d'arme et refus de se soumettre à un dépistage d'alcoolémie. Il a été remis en liberté avec une convocation en comparution sur reconnaissance préalable de culpabitité (CRPC).