SEINE-MARITIME - "Ta mère", "Nique la police", "batard"... Une dizaine de tags de cette veine a recouvert la façade de deux immeubles de l'Opac le Saule et le Platane, rue Camille Pissaro à Canteleu, près de Rouen. Ces graffitis ont été signalés à la police par le gardien de la résidence. Selon lui, ces inscriptions à la peinture noire et rose auraient été réalisées entre mardi soir à 19 heures et ce mercredi matin.
L'auteur a été rapidement identifié, après la découverte, dans un placard réservé aux compteurs, d'un sac à dos contenant des bombes de peinture à moitié vide de couleur noire et rose. Dans le sac, un carnet de liaison au nom d'un élève du collège du Cèdre, âgé de 13 ans, a été retrouvé ainsi qu'u_ne calculatrice, trousse et un cahier scolaire.
Il reconnaît les faits
Les policiers du groupe d'appui judiciaire de Canteleu ont contacté la famille du jeune garçon qui a été prié de se présenter au poste de police. Ce qu'il a fait dans l'après-midi. Interpellé, le collégien a reconnu être l'auteur des graffitis, sans pouvoir en expliquer la signification. Parmi ses inscriptions, il s'en prenait également à une élue du conseil municipal qui se représente aux prochaines élections.
L'adolescent, qui a déclaré avoir agi tout seul, a fait l'objet d'une convocation par officier de police judiciaire (COPJ) à la date du 13 mai. Il sera poursuivi en justice, malgré son jeune âge, pour outrages et dégradations par tags.
L'auteur a été rapidement identifié, après la découverte, dans un placard réservé aux compteurs, d'un sac à dos contenant des bombes de peinture à moitié vide de couleur noire et rose. Dans le sac, un carnet de liaison au nom d'un élève du collège du Cèdre, âgé de 13 ans, a été retrouvé ainsi qu'u_ne calculatrice, trousse et un cahier scolaire.
Il reconnaît les faits
Les policiers du groupe d'appui judiciaire de Canteleu ont contacté la famille du jeune garçon qui a été prié de se présenter au poste de police. Ce qu'il a fait dans l'après-midi. Interpellé, le collégien a reconnu être l'auteur des graffitis, sans pouvoir en expliquer la signification. Parmi ses inscriptions, il s'en prenait également à une élue du conseil municipal qui se représente aux prochaines élections.
L'adolescent, qui a déclaré avoir agi tout seul, a fait l'objet d'une convocation par officier de police judiciaire (COPJ) à la date du 13 mai. Il sera poursuivi en justice, malgré son jeune âge, pour outrages et dégradations par tags.