Sur ce dessin d'artiste, la préfiguration de ce que sera le futur viaduc de Guerville, dans les Yvelines, en 2020 (Illustration@Sanef)
Les travaux préparatoires à l’aménagement du viaduc de Guerville, sur l'autoroute A13, dans les Yvelines (face à la centrale EDF de Porcheville), débutent ce lundi 1er février avec une première étape de déboisement qui durera environ un mois et demi, sans impact sur la circulation.
Déclaré d’utilité publique le 17 décembre 2015, le projet d’aménagement du viaduc de Guerville (il représente un coût total de 47 M€) figure parmi les 20 projets inscrits au plan de relance autoroutier, mis en œuvre par le groupe Sanef.
Déclaré d’utilité publique le 17 décembre 2015, le projet d’aménagement du viaduc de Guerville (il représente un coût total de 47 M€) figure parmi les 20 projets inscrits au plan de relance autoroutier, mis en œuvre par le groupe Sanef.
120 000 véhicules par jour
Situé sur l’A13, entre les sorties n°11 à Mantes et n°10 à Epône, le projet a pour ambition de créer un 3ème viaduc contigu aux deux viaducs existants et permettre ainsi, dans un second temps, la rénovation de ces deux derniers, sans dégradation des conditions de circulation des automobilistes.
La longueur du projet est de 2 km, dont 360 m de nouveau viaduc, complétés des voies de raccordement à l’A13 de part et d’autre de ce dernier.
Les deux viaducs actuels accueillent un trafic de 120 000 véhicules chaque jour. Ils datent des années 60 et nécessitent donc d’être rénovés.
A la fin du chantier prévue à l’horizon 2020*, les deux anciens viaducs assureront la circulation du sens Paris > Caen et le nouveau viaduc accueillera la circulation du sens Caen > Paris.
Par la création de ce nouveau tablier, la fluidité sera également renforcée, puisqu’une voie supplémentaire sera dédiée au sens Paris > Caen permettant ainsi de disposer de 4 voies au lieu de 3.
Ce projet permettra également d’améliorer la sécurité des automobilistes et des équipes d’intervention, grâce à la création de bandes d’arrêts d’urgence sur chaque sens de circulation.
La longueur du projet est de 2 km, dont 360 m de nouveau viaduc, complétés des voies de raccordement à l’A13 de part et d’autre de ce dernier.
Les deux viaducs actuels accueillent un trafic de 120 000 véhicules chaque jour. Ils datent des années 60 et nécessitent donc d’être rénovés.
A la fin du chantier prévue à l’horizon 2020*, les deux anciens viaducs assureront la circulation du sens Paris > Caen et le nouveau viaduc accueillera la circulation du sens Caen > Paris.
Par la création de ce nouveau tablier, la fluidité sera également renforcée, puisqu’une voie supplémentaire sera dédiée au sens Paris > Caen permettant ainsi de disposer de 4 voies au lieu de 3.
Ce projet permettra également d’améliorer la sécurité des automobilistes et des équipes d’intervention, grâce à la création de bandes d’arrêts d’urgence sur chaque sens de circulation.
Un chantier sur cinq ans en trois étapes
Le phasage des travaux a pour objectif de réduire la gêne aux automobilistes pendant toute la durée du chantier. Ce dernier sera réalisé en plusieurs grandes étapes :
une première étape de travaux préparatoires : qui inclue jusqu’à mi-mars* des interventions de déboisement. La circulation s’effectue normalement sur l’A13. une deuxième étape pour la construction du nouveau viaduc : du 2ème trimestre 2016 à début 2020*, garantissant ainsi une circulation normale sur les deux viaducs actuels. une troisième étape pour la rénovation des viaducs existants : avec le basculement du sens Caen > Paris sur le nouveau viaduc et la réalisation des travaux, par alternat, sur les 2 viaducs actuels pour le sens Paris > Caen.Ce projet sera accompagné durant toute sa durée par un dispositif d’information dédié.
Les deux viaducs actuels accueillent un trafic de 120 000 véhicules chaque jour. Ils datent des années 60 et nécessitent donc d’être rénovés.
Un plan de relance autoroutier sur 5 ans
Signé avec l’Etat en août 2015, le plan de relance autoroutier prévoit la réalisation d’une vingtaine d'opérations à la charge exclusive des principaux concessionnaires d’autoroutes.
Cette modernisation des infrastructures est réalisée en contrepartie d’un allongement de la durée de leurs concessions.
Le plan de relance autoroutier pour le groupe sanef :
- 724 millions d’euros engagés sur ses 3 régions d’exploitations (ouest, nord et est) dont :
- 444 millions d’euros investis sur le réseau Sanef (nord et est) pour 2 ans d’allongement de la concession,
- 280 millions d’euros pour le réseau SAPN (ouest) pour 3 ans et 8 mois d’allongement de la concession,
20 projets et environ 5 ans de travaux, 4 axes de modernisation :
Cette modernisation des infrastructures est réalisée en contrepartie d’un allongement de la durée de leurs concessions.
Le plan de relance autoroutier pour le groupe sanef :
- 724 millions d’euros engagés sur ses 3 régions d’exploitations (ouest, nord et est) dont :
- 444 millions d’euros investis sur le réseau Sanef (nord et est) pour 2 ans d’allongement de la concession,
- 280 millions d’euros pour le réseau SAPN (ouest) pour 3 ans et 8 mois d’allongement de la concession,
20 projets et environ 5 ans de travaux, 4 axes de modernisation :