Le petit salon de coiffure de René Michaux, 92 ans a été fortement endommagé (Illustration)
Le salon de coiffure du plus ancien coiffeur de France, en activité depuis 71 ans, installé à Beaumont-le-Roger (Eure) a été fortement endommagé par un incendie dont l'origine est accidentelle, selon la gendarmerie.
Les secours ont été alertés peu avant 23 heures hier jeudi qu'un incendie s'était déclaré dans une boutique bien connue des habitants de la rue Chantereine. Très vite sur place les sapeurs pompiers de Beaumont renforcés par leurs collègues du centre de secours de Bernay ont maîtrisé le feu, l'empêchant ainsi de se propager. Cependant, les fumées ont occasionné des dégâts relativement importants à l'intérieur du salon de coiffure qui a dû être fermé provisoirement.
Le maire de la ville s'est déplacé sur les lieux ainsi que le propriétaire du salon René Michaux, une figure de la profession : il est le plus ancien coiffeur de France ! À 92 ans, René Michaux exerce toujours son métier ...depuis l'après Seconde Guerre mondiale.
Une catastrophe pour ce nonagénaire encore très actif et ses deux employés qui se retrouvent temporairement au chômage technique.
L'enquête a été confiée à la communauté de brigades de Brionne.
Les secours ont été alertés peu avant 23 heures hier jeudi qu'un incendie s'était déclaré dans une boutique bien connue des habitants de la rue Chantereine. Très vite sur place les sapeurs pompiers de Beaumont renforcés par leurs collègues du centre de secours de Bernay ont maîtrisé le feu, l'empêchant ainsi de se propager. Cependant, les fumées ont occasionné des dégâts relativement importants à l'intérieur du salon de coiffure qui a dû être fermé provisoirement.
Le maire de la ville s'est déplacé sur les lieux ainsi que le propriétaire du salon René Michaux, une figure de la profession : il est le plus ancien coiffeur de France ! À 92 ans, René Michaux exerce toujours son métier ...depuis l'après Seconde Guerre mondiale.
Une catastrophe pour ce nonagénaire encore très actif et ses deux employés qui se retrouvent temporairement au chômage technique.
L'enquête a été confiée à la communauté de brigades de Brionne.