Un jeune homme a été violemment frappé par des individus qui voulaient lui emprunter son téléphone. Interpellés, les trois mis en cause ont été placés sous contrôle judiciaire en attendant leur procès.
La scène se déroule lundi 3 avril, vers 14 heures 30, dans le parc de la mairie, à Bernay (Eure). Un inconnu demande à un jeune homme de 20 ans son téléphone portable pour passer un appel. Devant le refus de ce dernier, il renouvelle de manière plus pressante sa demande, avec le renfort cette fois de deux comparses, une jeune femme majeure et un adolescent. Nouveau refus.
S'ensuit une bagarre. Le propriétaire du téléphone est jeté au sol, puis roué de coups par les trois individus. Blessé, il parvient à s'enfuir et se réfugie dans les locaux de la police municipale.
La scène se déroule lundi 3 avril, vers 14 heures 30, dans le parc de la mairie, à Bernay (Eure). Un inconnu demande à un jeune homme de 20 ans son téléphone portable pour passer un appel. Devant le refus de ce dernier, il renouvelle de manière plus pressante sa demande, avec le renfort cette fois de deux comparses, une jeune femme majeure et un adolescent. Nouveau refus.
S'ensuit une bagarre. Le propriétaire du téléphone est jeté au sol, puis roué de coups par les trois individus. Blessé, il parvient à s'enfuir et se réfugie dans les locaux de la police municipale.
Placés sous contrôle judiciaire
À partir du témoignage de la victime, les agresseurs sont interpellés par les gendarmes de la brigade de Bernay renforcée par le peloton de surveillance et d'intervention (Psig) et la police municipale.
Les auteurs des violences, originaires du département de Seine-et-Marne, ont été placés en garde à vue. Dans l’attente de leur jugement, ils se sont vu notifier l'interdiction de se rendre dans l’Eure et en Seine-Maritime et de rencontrer la victime. ils ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire (ils devront pointer une fois par semaine à la gendarmerie ou au commissariat de leur domicile).
Les auteurs des violences, originaires du département de Seine-et-Marne, ont été placés en garde à vue. Dans l’attente de leur jugement, ils se sont vu notifier l'interdiction de se rendre dans l’Eure et en Seine-Maritime et de rencontrer la victime. ils ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire (ils devront pointer une fois par semaine à la gendarmerie ou au commissariat de leur domicile).