Braquage éclair ce samedi 16 juillet dans le restaurant Hippopotamus, route de Neufchâtel à Bois-Guillaume, au nord de Rouen (Seine-Maritime). Un malfaiteur, seul, a attendu le départ du dernier client vers 23 heures pour faire irruption dans l'établissement et braquer le personnel présent.
Bombe lacrymogène et Taser
Le visage dissimulé, l'individu était armé d'une bombe lacrymogène et d'un pistolet à impulsion électrique de type Taser.
Sous la menace, il s'est fait remettre le contenu de la caisse, soit 200€ environ, et a dérobé par la même occasion une boite destinée à collecter les pièces jaunes. Le braqueur a pris la fuite sans être inquiété.
Un plan de recherche a été activé des que l'alerte a été donnée, mais il n'a pas permis de retrouver le malfaiteur.
Même mode opératoire chez Buffalo Grill
Ce braquage, dont l'enquête a été confiée à la permanence judiciaire, n'est pas sans rappeler celui dont a été victime il y a quelques jours un autre restaurant (Buffalo Grill) du même secteur. Un individu s'était introduit dans l'établissement après le départ des derniers clients, à l'heure de la fermeture, et s'était fait remettre la caisse, soit 500€.
Les premiers éléments de l'enquête, compte tenu du mode opératoire similaire dans les deux cas, laissent à penser qu'il pourrait s'agir du même auteur.
Bombe lacrymogène et Taser
Le visage dissimulé, l'individu était armé d'une bombe lacrymogène et d'un pistolet à impulsion électrique de type Taser.
Sous la menace, il s'est fait remettre le contenu de la caisse, soit 200€ environ, et a dérobé par la même occasion une boite destinée à collecter les pièces jaunes. Le braqueur a pris la fuite sans être inquiété.
Un plan de recherche a été activé des que l'alerte a été donnée, mais il n'a pas permis de retrouver le malfaiteur.
Même mode opératoire chez Buffalo Grill
Ce braquage, dont l'enquête a été confiée à la permanence judiciaire, n'est pas sans rappeler celui dont a été victime il y a quelques jours un autre restaurant (Buffalo Grill) du même secteur. Un individu s'était introduit dans l'établissement après le départ des derniers clients, à l'heure de la fermeture, et s'était fait remettre la caisse, soit 500€.
Les premiers éléments de l'enquête, compte tenu du mode opératoire similaire dans les deux cas, laissent à penser qu'il pourrait s'agir du même auteur.