Un apprenti boulanger-pâtissier est convoqué pour le 8 avril prochain devant le juge des enfants au tribunal du Havre. L'adolescent âgé de 16 ans, devrait être mis en examen pour vol par effraction au préjudice de son patron.
Les faits. Mardi 1er mars, au petit matin, le gérant de la boulangerie "Le père la brioche", 4, rue Denfert-Rochereau au Havre, constate en arrivant dans sa boutique que le tiroir-caisse est vide et que l'objectif de la caméra de surveillance pointée vers l'accueil est barbouillée de peinture rouge. Des traces de la même peinture sont relevées au sol.
L'apprenti est soupçonné
En poussant un peu ses investigations, le boulanger remarque également que la grille d'aération, sur le toit, a été forcée. Outre le fonds de caisse (500€ en billets de banque), des canettes de jus de fruit et des paquets de friandises ont été dérobés.
Dans un premier temps, les soupçons de l'artisan boulanger se portent sur son apprenti. Il va donc au domicile des parents du jeune homme et apprend alors que ce dernier n'est pas rentré de la nuit.
Le service local de police technique (SLPT) procède sur les lieux à des relevés de traces et d'indices. Les policiers s'intéressent beaucoup à une empreinte de semelles de chaussures dans la peinture au sol. De même qu'à deux empreintes digitales prélevées sur la grille d'aération.
Confondu par ses empreintes,
il nie farouchement
L'exploitation de la vidéo-surveillance permet par ailleurs de déterminer que les cambrioleurs étaient au moins deux, mais pas de les identifier.
L'apprenti est interrogé par les enquêteurs de la brigade anti-cambriolages du Havre. Il nie les faits en bloc. La perquisition effectuée dans sa chambre au domicile parental ne donne aucun résultat. L'empreinte de semelle relevée dans la boutique correspond pourtant à ses chaussures de même que les empreintes papillaires sur toit, ce qui n'empêche pas l'adolescent, bien que confondu, de continue à nier farouchement.
Il appartient maintenant au juge des enfants de statuer sur son sort.
Les faits. Mardi 1er mars, au petit matin, le gérant de la boulangerie "Le père la brioche", 4, rue Denfert-Rochereau au Havre, constate en arrivant dans sa boutique que le tiroir-caisse est vide et que l'objectif de la caméra de surveillance pointée vers l'accueil est barbouillée de peinture rouge. Des traces de la même peinture sont relevées au sol.
L'apprenti est soupçonné
En poussant un peu ses investigations, le boulanger remarque également que la grille d'aération, sur le toit, a été forcée. Outre le fonds de caisse (500€ en billets de banque), des canettes de jus de fruit et des paquets de friandises ont été dérobés.
Dans un premier temps, les soupçons de l'artisan boulanger se portent sur son apprenti. Il va donc au domicile des parents du jeune homme et apprend alors que ce dernier n'est pas rentré de la nuit.
Le service local de police technique (SLPT) procède sur les lieux à des relevés de traces et d'indices. Les policiers s'intéressent beaucoup à une empreinte de semelles de chaussures dans la peinture au sol. De même qu'à deux empreintes digitales prélevées sur la grille d'aération.
Confondu par ses empreintes,
il nie farouchement
L'exploitation de la vidéo-surveillance permet par ailleurs de déterminer que les cambrioleurs étaient au moins deux, mais pas de les identifier.
L'apprenti est interrogé par les enquêteurs de la brigade anti-cambriolages du Havre. Il nie les faits en bloc. La perquisition effectuée dans sa chambre au domicile parental ne donne aucun résultat. L'empreinte de semelle relevée dans la boutique correspond pourtant à ses chaussures de même que les empreintes papillaires sur toit, ce qui n'empêche pas l'adolescent, bien que confondu, de continue à nier farouchement.
Il appartient maintenant au juge des enfants de statuer sur son sort.