Selon certaines informations publiées ce dimanche soir, l'homme qui a été grièvement brûlé dans une explosion due à la conjonction d'une décharge électrique d'un Taser et de gaz lacrymogène se serait enfui du service des urgences du CHU Charles-Nicolle à Rouen où il avait été admis vendredi soir.
Une information difficilement vérifiable en l'état. Le suspect, interpellé vendredi soir après une course-poursuite avec des agents de la douane sur l'autoroute A 13, dans l'Eure, était placé en garde à vue dans sa chambre d'hôpital sous la surveillance de deux gendarmes. Ce matin encore à 10 heures, il était toujours hospitalisé, selon nos informations, tandis que la durée légale de sa garde à vue (48 heures) touchait à sa fin.
Seule exception, les affaires de drogue, notamment, où la garde à vue peut durer jusqu'à quatre jours (96 heures).
Pas de message de recherche diffusé
Dans le cas présent, on ignore si l'automobiliste, originaire des Yvelines, blessé lors de son interpellation vendredi soir sur une aire de repos de l'A13, est impliqué dans un trafic de stupéfiants comme pourrait le laisser supposer la tentative d'interception de son véhicule par les douaniers à une barrière de péage.
Ce qui est sûr, aucun message de recherche concernant la disparition de cet homme n'a été diffusé ni samedi soir ni ce dimanche aux services de police et de gendarmerie de la Seine-Maritime.
Une information difficilement vérifiable en l'état. Le suspect, interpellé vendredi soir après une course-poursuite avec des agents de la douane sur l'autoroute A 13, dans l'Eure, était placé en garde à vue dans sa chambre d'hôpital sous la surveillance de deux gendarmes. Ce matin encore à 10 heures, il était toujours hospitalisé, selon nos informations, tandis que la durée légale de sa garde à vue (48 heures) touchait à sa fin.
Seule exception, les affaires de drogue, notamment, où la garde à vue peut durer jusqu'à quatre jours (96 heures).
Pas de message de recherche diffusé
Dans le cas présent, on ignore si l'automobiliste, originaire des Yvelines, blessé lors de son interpellation vendredi soir sur une aire de repos de l'A13, est impliqué dans un trafic de stupéfiants comme pourrait le laisser supposer la tentative d'interception de son véhicule par les douaniers à une barrière de péage.
Ce qui est sûr, aucun message de recherche concernant la disparition de cet homme n'a été diffusé ni samedi soir ni ce dimanche aux services de police et de gendarmerie de la Seine-Maritime.