Le Loïc Lucas, un chalutier de 15 mètres, naviguait à vide lorsqu'il a été heurté par un cargo
Au cours de la nuit de ce lundi 8 avril, peu après minuit, le cargo Ambassadeur et le chalutier Loïc Lucas, immatriculé à Grandcamp-Maisy (Calvados) sont entrés en collision à l'entrée de la voie montante du Dispositif de séparation du trafic (DST) du Pas-de-Calais, à environ 70 km au nord du Cap d'Antifer (Seine-Maritime).
A la suite de cette collision, le Loïc Lucas a été victime d'une importante voie d'eau et les quatre marins pêcheurs ont lancé un appel de détresse au Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) Jobourg. Les naufragés ont ensuite rapidement regagné un radeau de survie n'étant pas en mesure de maîtriser la voie d'eau.
Sauvés grâce à leur radeau de survie
Le CROSS Jobourg a immédiatement coordonné une opération de sauvetage et mobilisé l'hélicoptère EC-225 de la Marine nationale basé à Cherbourg. Avec l'aide du CROSS Gris-Nez, plusieurs navires de pêche travaillant à proximité ont été déroutés. Le cargo Ambassadeur a lui aussi fait demi-tour pour apporter son concours.
Peu de temps après avoir regagné leur radeau de survie et tandis que leur chalutier avait sombré, les quatre marins pêcheurs ont été pris en charge vers 1 h par un autre navire de pêche, le Rêve de mousse 1. L'hélicoptère EC-225 de la Marine nationale a quant à lui permis de réguler l'activité sur zone, compte tenu du fort trafic maritime dans l'axe du DST menant au détroit du Pas-de-Calais.
Les naufragés ramenés au port de Dieppe
Sains et saufs, les marins pêcheurs ont fait route à bord du Rêve de mousse 1 vers le port de Dieppe, où ils sont arrivés vers 7 h 30 ce lundi matin.
Le Loïc Lucas était un chalutier de 15 mètres construit en 1991. Le cargo Ambassadeur bat pavillon néerlandais, mesure 111 mètres et ne transportait aucune marchandise au moment des faits. Il venait de Foynes (Irlande) et se dirigeait vers Moerdijk (Pays-Bas).
A la suite de cette collision, le Loïc Lucas a été victime d'une importante voie d'eau et les quatre marins pêcheurs ont lancé un appel de détresse au Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) Jobourg. Les naufragés ont ensuite rapidement regagné un radeau de survie n'étant pas en mesure de maîtriser la voie d'eau.
Sauvés grâce à leur radeau de survie
Le CROSS Jobourg a immédiatement coordonné une opération de sauvetage et mobilisé l'hélicoptère EC-225 de la Marine nationale basé à Cherbourg. Avec l'aide du CROSS Gris-Nez, plusieurs navires de pêche travaillant à proximité ont été déroutés. Le cargo Ambassadeur a lui aussi fait demi-tour pour apporter son concours.
Peu de temps après avoir regagné leur radeau de survie et tandis que leur chalutier avait sombré, les quatre marins pêcheurs ont été pris en charge vers 1 h par un autre navire de pêche, le Rêve de mousse 1. L'hélicoptère EC-225 de la Marine nationale a quant à lui permis de réguler l'activité sur zone, compte tenu du fort trafic maritime dans l'axe du DST menant au détroit du Pas-de-Calais.
Les naufragés ramenés au port de Dieppe
Sains et saufs, les marins pêcheurs ont fait route à bord du Rêve de mousse 1 vers le port de Dieppe, où ils sont arrivés vers 7 h 30 ce lundi matin.
Le Loïc Lucas était un chalutier de 15 mètres construit en 1991. Le cargo Ambassadeur bat pavillon néerlandais, mesure 111 mètres et ne transportait aucune marchandise au moment des faits. Il venait de Foynes (Irlande) et se dirigeait vers Moerdijk (Pays-Bas).