Les stupéfiants étaient conditionnés dans des boîtes rondes - Illustration @ DDSP78
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Deux hommes soupçonnés d’être impliqués dans un trafic de stupéfiants ont été interpellés à quelques heures d’intervalle.
Le 1er avril, un équipage de la Sûreté urbaine du commissariat de Saint-Germain-en-Laye est amené à contrôler un automobiliste. Très vite, les policiers sentent une forte odeur de drogue provenant de l’intérieur de l’habitacle.
En poussant leurs investigations, ils découvrent alors dans le véhicule un sac renfermant la somme de 1560 euros en liquide ainsi que trois boites contenant de l’herbe de cannabis.
Ce n’est pas tout : poursuivant la fouille ils découvrent encore 90 euros supplémentaires, avec 10 boites d’herbe et un pochon de résine de cannabis. Le conducteur est interpellé. Lors de son audition, en garde à vue, l’automobiliste nie catégoriquement les faits.
Deux hommes soupçonnés d’être impliqués dans un trafic de stupéfiants ont été interpellés à quelques heures d’intervalle.
Le 1er avril, un équipage de la Sûreté urbaine du commissariat de Saint-Germain-en-Laye est amené à contrôler un automobiliste. Très vite, les policiers sentent une forte odeur de drogue provenant de l’intérieur de l’habitacle.
En poussant leurs investigations, ils découvrent alors dans le véhicule un sac renfermant la somme de 1560 euros en liquide ainsi que trois boites contenant de l’herbe de cannabis.
Ce n’est pas tout : poursuivant la fouille ils découvrent encore 90 euros supplémentaires, avec 10 boites d’herbe et un pochon de résine de cannabis. Le conducteur est interpellé. Lors de son audition, en garde à vue, l’automobiliste nie catégoriquement les faits.
Détention provisoire jusqu’à leur procès
Le lendemain, un autre individu a été interpellé dans les mêmes circonstances. Dans sa voiture, les enquêteurs ont trouvé 610 euros en petites coupures et 25 boites remplies d’herbe de cannabis.
Placé en garde à vue, le suspect n’a rien voulu reconnaître malgré les preuves. Le bornage de son téléphone portable a cependant permis de mettre en lumière ses relations avec le premier mis en cause.
Les investigations ayant établi un lien entre les deux affaires, le magistrat de permanence au paquet de Versailles a demandé à ce que les deux hommes soient déférés au palais de justice pour être jugés en comparution immédiate le 6 avril.
Le procès ayant finalement été reporté au 8 juin, les deux hommes ont été placés sous mandat de dépôt jusqu’à la date de leur jugement.
Placé en garde à vue, le suspect n’a rien voulu reconnaître malgré les preuves. Le bornage de son téléphone portable a cependant permis de mettre en lumière ses relations avec le premier mis en cause.
Les investigations ayant établi un lien entre les deux affaires, le magistrat de permanence au paquet de Versailles a demandé à ce que les deux hommes soient déférés au palais de justice pour être jugés en comparution immédiate le 6 avril.
Le procès ayant finalement été reporté au 8 juin, les deux hommes ont été placés sous mandat de dépôt jusqu’à la date de leur jugement.