La consommation, le ramassage, la pêche, le transport et la commercialisation des coquillages filtreurs sont interdits jusqu’à nouvel ordre sur les communes du littoral entre Le Havre et Veulettes-sur-Mer (Seine-Maritime).
C’est l’Agence régionale de santé (ARS) Normandie qui l’annonce, ce vendredi dans un communiqué.
« La présence du phytoplancton Dinophysis dans l’eau de mer est mise en évidence par le réseau de surveillance de la station IFREMER de Port-en-Bessin. Dans ce cas, les coquillages et plus spécialement les moules peuvent être contaminées par une toxine », détaille l’agence de santé, précisant que la « toxine contenue dans le Dinophysis est peu sensible à l’action de la chaleur et n’est donc pas détruite par la cuisson ».
C’est l’Agence régionale de santé (ARS) Normandie qui l’annonce, ce vendredi dans un communiqué.
« La présence du phytoplancton Dinophysis dans l’eau de mer est mise en évidence par le réseau de surveillance de la station IFREMER de Port-en-Bessin. Dans ce cas, les coquillages et plus spécialement les moules peuvent être contaminées par une toxine », détaille l’agence de santé, précisant que la « toxine contenue dans le Dinophysis est peu sensible à l’action de la chaleur et n’est donc pas détruite par la cuisson ».
Diarrhées et vomissements
Les signes les plus fréquemment observés en cas de contamination sont des diarrhées, vomissements, douleurs abdominales qui apparaissent dans un délai de 30 minutes à quelques heures après l’ingestion des coquillages contaminés.
À rappeler par ailleurs qu’un arrêté préfectoral en date du 5 février 2004 interdit de manière permanente la pêche des coquillages vivants entre l’estuaire de la Seine et le Cap d’Antifer.
À rappeler par ailleurs qu’un arrêté préfectoral en date du 5 février 2004 interdit de manière permanente la pêche des coquillages vivants entre l’estuaire de la Seine et le Cap d’Antifer.