16% des 6 793 prélèvements effectués depuis le 24 février, se sont révélés positifs au coronavirus - Illustration © iStockphoto
Dans son dernier bilan publié ce dimanche 29 mars, l’Agence régionale de santé (ARS) de Normandie fait état du décès en milieu hospitalier, depuis hier, de six personnes porteuses du coronavirus Covid-19 : deux dans la Manche et quatre en Seine-Maritime. Le nombre total de décès depuis le début de l’épidémie est de 32 en Normandie (22 hommes et 10 femmes, avec un âge médian de 81 ans).
Selon les autorités sanitaires, 464 personnes sont hospitalisées actuellement en Normandie, soit une augmentation de 77% en 72 heures depuis le jeudi 26 mars où 262 personnes étaient hospitalisées : 97 dans le Calvados, 39 dans l’Eure, 37 dans la Manche, 25 dans l’Orne et 266 dans la Seine-Maritime
Parmi elles, 123 sont en réanimation.
Depuis début mars, 103 personnes sont sorties de l’hôpital, indique l’ARS.
Selon les autorités sanitaires, 464 personnes sont hospitalisées actuellement en Normandie, soit une augmentation de 77% en 72 heures depuis le jeudi 26 mars où 262 personnes étaient hospitalisées : 97 dans le Calvados, 39 dans l’Eure, 37 dans la Manche, 25 dans l’Orne et 266 dans la Seine-Maritime
Parmi elles, 123 sont en réanimation.
Depuis début mars, 103 personnes sont sorties de l’hôpital, indique l’ARS.
90 nouveaux cas confirmés depuis hier
Du 24 février à aujourd’hui, 1 105 personnes ont été testées positives au COVID-19* en Normandie (90 nouveaux cas depuis hier) sur un total de 6 793 prélèvements* réalisés, soit 16 % de positivité (selon les données des 3 laboratoires hospitaliers réalisant les PCR Covid-19 en Normandie : CHU de Caen, CHU de Rouen et Groupe Hospitalier du Havre).
* Pour rappel, le nombre de cas comptabilisés correspond aux cas confirmés via la réalisation de tests de dépistage.
Depuis le passage en stade 3, les tests de dépistage ne sont plus systématiques, mais réalisés en priorité auprès des personnes pour lesquelles la confirmation du diagnostic représente un enjeu important, notamment les personnes hospitalisées présentant des formes graves, les professionnels de santé, les premiers cas possibles en EHPAD, les femmes enceintes ou encore les donneurs d’organes.
Le nombre de cas confirmés sert désormais à guider les mesures de gestion mais ne reflète pas la réalité de la circulation du virus sur le territoire.
Depuis le passage en stade 3, les tests de dépistage ne sont plus systématiques, mais réalisés en priorité auprès des personnes pour lesquelles la confirmation du diagnostic représente un enjeu important, notamment les personnes hospitalisées présentant des formes graves, les professionnels de santé, les premiers cas possibles en EHPAD, les femmes enceintes ou encore les donneurs d’organes.
Le nombre de cas confirmés sert désormais à guider les mesures de gestion mais ne reflète pas la réalité de la circulation du virus sur le territoire.