L’auteur du coup de feu a été interpellé sur le lieu des faits - illustration
Une enquête pour tentative d'homicide volontaire a été ouverte par la police de Rouen (Seine-Maritime). Un homme de 33 ans a été interpellé et placé en garde à vue.
Les faits se sont déroulés sur la voie publique dans le centre-ville de Maromme, près de l'hôtel de ville, dans la soirée d'hier dimanche. Suite à ,un différend familial, un habitant de la commune a tiré avec un fusil de chasse à canon scié sur son beau-frère le blessant à un bras. Les jours la victime, âgé de 36 ans, ne sont pas en danger.
Les faits se sont déroulés sur la voie publique dans le centre-ville de Maromme, près de l'hôtel de ville, dans la soirée d'hier dimanche. Suite à ,un différend familial, un habitant de la commune a tiré avec un fusil de chasse à canon scié sur son beau-frère le blessant à un bras. Les jours la victime, âgé de 36 ans, ne sont pas en danger.
Le tireur en garde à vue
La victime s'est ensuite réfugièe dans un kebab voisin et s'est emparé d'un couteau pour en découdre avec celui qui venait de le blesser. Des témoins de la scène sont alors intervenus pour l'en empêcher et la désarmer.
Le frère de ce dernier, âgé de 25 ans, a également été blessé à un bras, par des éclats de la cartouche. Ses blessures sont superficielles.
Le tireur a été interpellé peu avant 20 heures alors qu'il venait de remonter dans sa voiture, stationnée place Jean-Jaurès. Le fusil de chasse a été retrouvé et place sous scellé pour les besoins de l'enquête qui a été confiée à la Sûreté départementale. Ce lundi matin, le mis en cause était toujours entendu par les policiers.
Le frère de ce dernier, âgé de 25 ans, a également été blessé à un bras, par des éclats de la cartouche. Ses blessures sont superficielles.
Le tireur a été interpellé peu avant 20 heures alors qu'il venait de remonter dans sa voiture, stationnée place Jean-Jaurès. Le fusil de chasse a été retrouvé et place sous scellé pour les besoins de l'enquête qui a été confiée à la Sûreté départementale. Ce lundi matin, le mis en cause était toujours entendu par les policiers.