Entre le 31 octobre et le 6 novembre, 70 858 personnes ont été testées dont 2 089 ont présenté un résultat positif - Illustration © Adobe Stock
En Normandie, le taux d’incidence poursuit sa hausse par rapport à la semaine passée (+37,6 %) pour s’établir à 63,24 contre 45,71 lors du dernier point de situation, il y a une semaine
Tous les départements connaissent une augmentation de leur incidence, observe l'Agence régionale de santé (ARS) ce mardi 16 novembre. La Manche et l’Orne connaissent une très forte hausse, avec respectivement +83,2 % et +78,3%, tout comme la Seine-Maritime (+49,9 %). L’Eure (+16,5 %) et le Calvados (+5,7 %) connaissent une augmentation moindre de leur incidence.
Désormais, l’ensemble des départements normands dépassent le seuil d’alerte fixé à 50 cas pour 100 000 habitants.
Tous les départements connaissent une augmentation de leur incidence, observe l'Agence régionale de santé (ARS) ce mardi 16 novembre. La Manche et l’Orne connaissent une très forte hausse, avec respectivement +83,2 % et +78,3%, tout comme la Seine-Maritime (+49,9 %). L’Eure (+16,5 %) et le Calvados (+5,7 %) connaissent une augmentation moindre de leur incidence.
Désormais, l’ensemble des départements normands dépassent le seuil d’alerte fixé à 50 cas pour 100 000 habitants.
► « Importants signes de reprise en Normandie »
Comme sur le reste du territoire, la circulation du virus montre donc d’importants signes de reprise en Normandie. Par ailleurs, le contexte sanitaire est celui d’une probable co-circulation du virus grippal, des autres virus de l’hiver et du coronavirus.
« Dans ce contexte, insiste l'ARS, le respect des gestes barrières est plus que jamais essentiel, en toute occasion dans les lieux clos brassant les personnes : port du masque, lavage des mains, limitation des interactions sociales, aération régulière des locaux. Restons vigilants : face au virus, chaque geste compte ».
« Dans ce contexte, insiste l'ARS, le respect des gestes barrières est plus que jamais essentiel, en toute occasion dans les lieux clos brassant les personnes : port du masque, lavage des mains, limitation des interactions sociales, aération régulière des locaux. Restons vigilants : face au virus, chaque geste compte ».
► Hospitalisations et taux de positivité en hausse
La concernant, l’activité hospitalière liée au coronavirus continue d’augmenter. Au 8 novembre, 369 personnes hospitalisées (contre 341 la semaine dernière) sont atteintes de la Covid-19 dont 42 en réanimation (contre 37 il y a une semaine).
Le taux de positivité est lui aussi en constante augmentation. Entre le 31 octobre et le 6 novembre, 70 858 personnes ont été testées dont 2 089 ont présenté un résultat positif. Le nombre de cas positifs était de 1 510 la semaine précédente. Le taux de positivité monte ainsi à 2,95 % contre 2,67 % la semaine précédente.
Le taux de positivité est lui aussi en constante augmentation. Entre le 31 octobre et le 6 novembre, 70 858 personnes ont été testées dont 2 089 ont présenté un résultat positif. Le nombre de cas positifs était de 1 510 la semaine précédente. Le taux de positivité monte ainsi à 2,95 % contre 2,67 % la semaine précédente.
► 12 fois plus d'entrées en soins critiques chez les non-vaccinés
La vaccination, marquée aujourd’hui par la campagne de rappel, se poursuit à rythme soutenu en Normandie. Avec 5 420 665 injections réalisées au 14 novembre (2 714 127 primo-injections et 2 665 604 vaccinations complètes), la région affiche un taux de primo-injections de la population éligible de 91,3 % et un taux de vaccination complète à 89,9 %
Plus que jamais, la vaccination est la solution contre l’épidémie de Covid-19. Il y a 12 fois plus d’entrées en soins critiques parmi les personnes non vaccinées que parmi celles qui sont complètement vaccinées, affirme l'Agence régionale de santé citant une étude publiée le 5 novembre par la Direction de la recherche des études, de l’évaluation et des statistiques.
Plus que jamais, la vaccination est la solution contre l’épidémie de Covid-19. Il y a 12 fois plus d’entrées en soins critiques parmi les personnes non vaccinées que parmi celles qui sont complètement vaccinées, affirme l'Agence régionale de santé citant une étude publiée le 5 novembre par la Direction de la recherche des études, de l’évaluation et des statistiques.