Alors que la foire à tout battait son plein ce dimanche 21 avril, aux Damps (Eure) un homme âgé de 41 ans s'est retranché dans son pavillon armé d'un fusil de chasse, pour des raisons personnelles.
Dans un état d'excitation extrême après avoir absorbé une dose importante d'alcool, le forcené aurait refusé d'entendre raison lorsque les secours - pompiers et gendarmes - sont intervenus peu avant midi.
Agressif, nerveux et menaçant
Devant la situation, le renfort du peloton de surveillance et d'intervention (PSIG) et des gendarmes de Pont-de-l'Arche a été demandé, ainsi que le concours de deux négociateurs de la gendarmerie pour tenter de ramener le quadragénaire à la raison.
D'autant que l'homme était de plus en plus agressif, nerveux et menaçant. A tel point qu'à un moment, selon un témoin qui a entendu les détonations, il aurait tiré à trois reprises avec son fusil de chasse heureusement sans blesser personne.
Menotté et attaché sur une civière
Alors que les gendarmes tentaient d'amorcer le dialogue avec lui, après trois heures de suspense interminable, le forcené s'est avancé devant son pavillon et c'est à cet instant qu'il a été maîtrisé.
Selon nos informations, l'homme a dû être menotté et attaché sur une civière pour être emmené en toute sécurité au centre hospitalier spécialisé de Navarre à Evreux par les sapeurs-pompiers.
Dans un état d'excitation extrême après avoir absorbé une dose importante d'alcool, le forcené aurait refusé d'entendre raison lorsque les secours - pompiers et gendarmes - sont intervenus peu avant midi.
Agressif, nerveux et menaçant
Devant la situation, le renfort du peloton de surveillance et d'intervention (PSIG) et des gendarmes de Pont-de-l'Arche a été demandé, ainsi que le concours de deux négociateurs de la gendarmerie pour tenter de ramener le quadragénaire à la raison.
D'autant que l'homme était de plus en plus agressif, nerveux et menaçant. A tel point qu'à un moment, selon un témoin qui a entendu les détonations, il aurait tiré à trois reprises avec son fusil de chasse heureusement sans blesser personne.
Menotté et attaché sur une civière
Alors que les gendarmes tentaient d'amorcer le dialogue avec lui, après trois heures de suspense interminable, le forcené s'est avancé devant son pavillon et c'est à cet instant qu'il a été maîtrisé.
Selon nos informations, l'homme a dû être menotté et attaché sur une civière pour être emmené en toute sécurité au centre hospitalier spécialisé de Navarre à Evreux par les sapeurs-pompiers.