La jeune femme a expliqué aux policiers qu'elle voulait régler un compte avec une éducatrice (Illustration)
Une jeune femme de 18 ans a été placée en garde à vue hier mardi en début de nuit à Rouen pour violences volontaires avec arme (un couteau), outrages et rébellion sur personne dépositaire de l'autorité publique (des policiers).
Il est 23h30, lorsque les policiers sont contactés par une éducatrice d'un foyer situé boulevard de l'Europe à Rouen, qui déclare avoir été menacée par une jeune femme armée d'un couteau de cuisine. L'agresseuse, qui elle-même loge dans un autre foyer de Rouen, indique être venue pour régler un compte avec une autre éducatrice absente a ce moment-là.
Il est 23h30, lorsque les policiers sont contactés par une éducatrice d'un foyer situé boulevard de l'Europe à Rouen, qui déclare avoir été menacée par une jeune femme armée d'un couteau de cuisine. L'agresseuse, qui elle-même loge dans un autre foyer de Rouen, indique être venue pour régler un compte avec une autre éducatrice absente a ce moment-là.
Désarmée par une policière
A leur arrivée, les forces de l'ordre constatent un grand désordre dans le foyer : le matériel informatique est à terre et les bureaux sont retournés. La jeune femme est toujours là, particulièrement excitée, qui exhibe un couteau.
A la vue des policiers, elle devient menaçante et insulte les fonctionnaires de tous les noms d'oiseaux. Une policière intervient et munie d'une chaise parvient à désarmer la jeune femme. A cet instant, plusieurs policiers se jettent sur elle et la plaquent au sol pour la maîtriser.
A la vue des policiers, elle devient menaçante et insulte les fonctionnaires de tous les noms d'oiseaux. Une policière intervient et munie d'une chaise parvient à désarmer la jeune femme. A cet instant, plusieurs policiers se jettent sur elle et la plaquent au sol pour la maîtriser.
Elle refuse de souffler dans l'éthylomètre
Bien que menottée, la mise en cause, qui est alcoolisée, reste très énervée et se débat dans la voiture de police qui l'emmène rue Brisout-de-Barneville. Au commissariat, elle refuse de souffler dans l'éthylomètre et continue d'insulter les fonctionnaires.
Elle est finalement placée en cellule de dégrisement puis en garde à vue pour l'ensemble des faits qui lui sont reprochés.
Elle est finalement placée en cellule de dégrisement puis en garde à vue pour l'ensemble des faits qui lui sont reprochés.