Les armes saisies (Photo@Gendarmerie nationale)
Des armes et des munitions ont été découvertes chez les parents d'un habitant de Saint-Wandrille-Rançon, en Seine-Maritime.
Appelés à intervenir hier, mercredi 15 juin, pour un différend familial, au domicile d'un couple "en pleine rupture", les gendarmes de la communauté de brigades de Duclair (brigade d'Arelaune-en-Seine) apprennent que l'homme détient un certain nombre d'armes à feu non déclarées.
Cachées chez ses parents
En questionnant les parties en cause, les gendarmes parviennent à déterminer que ces armes sont cachées chez les parents de l'individu. De fait, lors de la perquisition, une carabine 22 long rifle, un revolver à grenaille, un pistolet automatique 7,65, un revolver à grenaille modifié pour le tir à balle réelle, un pistolet automatique 9 mm et une cinquantaine de munitions sont découverts et saisis.
"Les armes étaient toutes approvisionnées et prêtes à faire feu", précise une source proche de l'enquête.
"La compagnie de gendarmerie d'Yvetot va poursuivre sa lutte contre les possesseurs d'armes détenues illégalement", indique le chef d'escadron Franck Piédagnel.
Appelés à intervenir hier, mercredi 15 juin, pour un différend familial, au domicile d'un couple "en pleine rupture", les gendarmes de la communauté de brigades de Duclair (brigade d'Arelaune-en-Seine) apprennent que l'homme détient un certain nombre d'armes à feu non déclarées.
Cachées chez ses parents
En questionnant les parties en cause, les gendarmes parviennent à déterminer que ces armes sont cachées chez les parents de l'individu. De fait, lors de la perquisition, une carabine 22 long rifle, un revolver à grenaille, un pistolet automatique 7,65, un revolver à grenaille modifié pour le tir à balle réelle, un pistolet automatique 9 mm et une cinquantaine de munitions sont découverts et saisis.
"Les armes étaient toutes approvisionnées et prêtes à faire feu", précise une source proche de l'enquête.
"La compagnie de gendarmerie d'Yvetot va poursuivre sa lutte contre les possesseurs d'armes détenues illégalement", indique le chef d'escadron Franck Piédagnel.