500 tonnes de vestiges de guerres sont découvertes chaque année dans l'Hexagone (Photo d'illustration)
Coïncidence : des obus de mortier ont été découverts ce samedi dans deux sucreries normandes, à Etrepagny, près de Gisors (Eure) et à Cagny, près de Falaise (Calvados). Les deux engins, vestiges de la Seconde Guerre mondiale, ont été pris en charge par le service de déminage pour être détruits.
A la sucrerie Saint-Louis à Etrepagny, l'obus se trouvait parmi les betteraves sur une chaîne de traitement. L'engin ne s'est pas pas retrouvé là par hasard, il a été sans aucun doute récupéré lors du ramassage des betterraves dans un champ.
Dès sa découverte, un périmètre de sécurité a été mis en place, en attendant l'arrivée des démineurs de Versailles.
A Cagny, dans le Calvados, c'est aussi dans la sucrerie locale qu'un obus a été retrouvé. Il y a quelques années déjà, pareil engin d'une trentaine de centimètres avait été découvert dans les mêmes conditions. Il avait été détruit par le service de déminage de Caen.
A la sucrerie Saint-Louis à Etrepagny, l'obus se trouvait parmi les betteraves sur une chaîne de traitement. L'engin ne s'est pas pas retrouvé là par hasard, il a été sans aucun doute récupéré lors du ramassage des betterraves dans un champ.
Dès sa découverte, un périmètre de sécurité a été mis en place, en attendant l'arrivée des démineurs de Versailles.
A Cagny, dans le Calvados, c'est aussi dans la sucrerie locale qu'un obus a été retrouvé. Il y a quelques années déjà, pareil engin d'une trentaine de centimètres avait été découvert dans les mêmes conditions. Il avait été détruit par le service de déminage de Caen.
Chaque année en France, 500 tonnes de vestiges de guerres, de la cartouche à la bombe d’une tonne sont mises au jour au hasard d’un chantier et de travaux chez les particuliers.
Que faire ? Le premier réflexe en cas de doute devant une découverte de cette nature est d’avertir la gendarmerie, la police nationale ou bien municipale. Les forces de l’ordre alertent ensuite le service de déminage.