L’un des agresseurs était armé d’un pistolet à gaz, son complice d’une bombe lacrymogène - Illustration @Pixabay
Deux hommes ont été placés en vue cette nuit de lundi à mardi 17 août à l’hôtel de police de Rouen (Seine-Maritime). Ils sont entendus dans le cadre d’une tentative de vol avec arme.
Les faits se déroulent peu avant minuit route de Darnétal à Rouen. Deux hommes de 37 et 29 ans circulant à scooter voient surgir devant eux, débouchant du jardin d’une propriété, deux individus encagoulés. L’un brandit une arme de poing, l’autre une bombe lacrymogène. Les deux inconnus sont menaçant.
Les faits se déroulent peu avant minuit route de Darnétal à Rouen. Deux hommes de 37 et 29 ans circulant à scooter voient surgir devant eux, débouchant du jardin d’une propriété, deux individus encagoulés. L’un brandit une arme de poing, l’autre une bombe lacrymogène. Les deux inconnus sont menaçant.
Il tire un coup de feu en l’air
Dans la panique, le pilote du scooter perd le contrôle de son engin qui percute une poubelle. Il se retrouve alors au sol ainsi que son passager.
Les deux hommes se relèvent et, selon leurs déclarations, saisissent une barre de barre qui se trouve à proximité et tentent de mettre en fuite leurs agresseurs. A ce moment-là, celui qui tient le pistolet tire un coup de feu en l’air, tandis que son complice asperge les deux scootéristes de gaz lacrymogène, avant de prendre la fuite.
Les deux hommes se relèvent et, selon leurs déclarations, saisissent une barre de barre qui se trouve à proximité et tentent de mettre en fuite leurs agresseurs. A ce moment-là, celui qui tient le pistolet tire un coup de feu en l’air, tandis que son complice asperge les deux scootéristes de gaz lacrymogène, avant de prendre la fuite.
Interpellés par la brigade canine
Prévenu des faits, un équipage de la brigade canine arrive sur place, recueille le signalement des agresseurs et se lance à leur recherche. Les deux fuyards sont rapidement interpellés rue Louise-Givon. Ils sont âgés de 15 et 20 ans.
Les premières investigations sur place permettent de découvrir deux cagoules. En revanche l’arme utilisée, qui tire des cartouches à gaz, n’a pas été retrouvée.
L’enquête se poursuit.
Les premières investigations sur place permettent de découvrir deux cagoules. En revanche l’arme utilisée, qui tire des cartouches à gaz, n’a pas été retrouvée.
L’enquête se poursuit.