Photo d'illustration DR
Sorti de l'hôpital ce lundi 28 juillet, il a été interpellé immédiatement par les policiers et placé en garde à vue. L'auteur de l'accident qui avait fait deux morts le dimanche 22 juin dernier, sur la Sud III alors qu'il circulait à contresens et en état d'ivresse au volant de sa Clio, sera jugé vendredi 1er août par le tribunal correctionnel de Rouen, dans le cadre d'une comparution immédiate.
En attendant son procès, il a été placé en détention provisoire ce mardi après-midi, après son passage devant le procureur de la République et le juge des libertés et de la détention (JLD) qui a délivré un mandat de dépôt à son encontre.
La drame s'est produit sur la voie rapide à hauteur de la bretelle de Petit-Couronne à Grand-Quevilly. L'enquête a permis d'établir que la Clio roulait à contresens depuis plusieurs kilomètres et que son conducteur était fortement alcoolisé. Le procureur de la République avait évoqué alors un taux de 2,40 grammes par litre de sang. Un taux qui n'a pas été confirmé par les analyses de sang.
Ce qui est sûr, la Renault a percuté de plein fouet une Seat Léone qui, elle, circulait sur la voie de gauche dans le bon sens de circulation en direction de l'A13. Son conducteur, un homme de 33 ans demeurant à Notre-Dame-de-Gravenchon, n'a rien pu faire pour éviter la Renault qui, sous le choc, s'est retournée et immobilisée sur le toit.
A l'arrivée des secours, deux des trois occupants étaient décédés. Le passager avant, âgé de 45 ans, était incarcéré dans l'amas de ferraille. Les pompiers ont dû découper l'habitacle pour l'extraire. Le passager arrière était âgé de 42 ans. Tous deux étaient originaires d'Evreux (Eure). Le conducteur de la Clio, grièvement blessé, avait été hospitalisé à Charles Nicolle, avec un pronostic vital engagé.
En attendant son procès, il a été placé en détention provisoire ce mardi après-midi, après son passage devant le procureur de la République et le juge des libertés et de la détention (JLD) qui a délivré un mandat de dépôt à son encontre.
La drame s'est produit sur la voie rapide à hauteur de la bretelle de Petit-Couronne à Grand-Quevilly. L'enquête a permis d'établir que la Clio roulait à contresens depuis plusieurs kilomètres et que son conducteur était fortement alcoolisé. Le procureur de la République avait évoqué alors un taux de 2,40 grammes par litre de sang. Un taux qui n'a pas été confirmé par les analyses de sang.
Ce qui est sûr, la Renault a percuté de plein fouet une Seat Léone qui, elle, circulait sur la voie de gauche dans le bon sens de circulation en direction de l'A13. Son conducteur, un homme de 33 ans demeurant à Notre-Dame-de-Gravenchon, n'a rien pu faire pour éviter la Renault qui, sous le choc, s'est retournée et immobilisée sur le toit.
A l'arrivée des secours, deux des trois occupants étaient décédés. Le passager avant, âgé de 45 ans, était incarcéré dans l'amas de ferraille. Les pompiers ont dû découper l'habitacle pour l'extraire. Le passager arrière était âgé de 42 ans. Tous deux étaient originaires d'Evreux (Eure). Le conducteur de la Clio, grièvement blessé, avait été hospitalisé à Charles Nicolle, avec un pronostic vital engagé.