Les naufragés ont été hélitreuillés par l’hélicoptère Caïman de la Marine Nationale - Illustration
Une opération de sauvetage en mer a été déclenchée dans la soirée d’hier (jeudi 27 août) par le centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) Jobourg, à proximité des falaises d’Octeville-sur-Mer, près du Havre, en Seine-Maritime.
Vers 20h30, la capitainerie du port du Havre a été prévenue en effet que le voilier « Manouche », avec deux personnes à bord, venait de signaler une importante voie d'eau.
Vers 20h30, la capitainerie du port du Havre a été prévenue en effet que le voilier « Manouche », avec deux personnes à bord, venait de signaler une importante voie d'eau.
Réfugiés au pied des falaises
Après la diffusion par le Cross d’un message de détresse, la pilotine du port du Havre St-Joseph a fait route vers la dernière position du voilier. Le feu à main percuté par le skipper a alors permis de le localiser rapidement.
Dès lors, l'hélicoptère Caïman de la Marine de la Marine nationale basé à Maupertus (Manche) ainsi que la vedette de la société nationale des sauveteurs en mer (SNSM) du Havre ont été engagés pour leur porter assistance.
Finalement, le navire s’est échoué en touchant la côte, ce qui a permis aux deux plaisanciers de sauter sur la grève et de trouver refuge au pied de la falaise d'Octeville-sur-Mer dans l’attente de l’arrivée des secours.
Dès lors, l'hélicoptère Caïman de la Marine de la Marine nationale basé à Maupertus (Manche) ainsi que la vedette de la société nationale des sauveteurs en mer (SNSM) du Havre ont été engagés pour leur porter assistance.
Finalement, le navire s’est échoué en touchant la côte, ce qui a permis aux deux plaisanciers de sauter sur la grève et de trouver refuge au pied de la falaise d'Octeville-sur-Mer dans l’attente de l’arrivée des secours.
Récupérés par l’hélicoptère de la Marine
Les deux naufragés, sains et saufs, ont été hélitreuillés par l’hélicoptère de la Marine nationale, puis déposés a proximité d'une ambulance des sapeurs-pompiers pour un bilan médical.
Le SNSM devait revenir plus tard afin d'évaluer la possibilité de déséchouer puis de remorquer le navire. « Aucune pollution n’a été détectée », précise la préfecture maritime.
Le SNSM devait revenir plus tard afin d'évaluer la possibilité de déséchouer puis de remorquer le navire. « Aucune pollution n’a été détectée », précise la préfecture maritime.