L'incendie au Cuba Libre a fait 14 morts (photo@Vivien Chareyre/Twitter)
Une enquête a été ouverte par les services de police de Seine-Maritime après la dégradation du véhicule du gérant du "Au Cuba Libre", à Rouen.
Vers 22 heures 30, les policiers sont internés rue Pelletier à Déville-les-Rouen pour deux individus alcoolisés sur la voie publique. Les deux individus qui ont déclaré être sans domicile fixe venaient de faire exploser à coups de barre de fer la vitre arrière d'une Mercedes garée à proximité.
Il s'est avéré que le véhicule appartient au gérant du restaurant rouennais qui a brûlé accidentellement provoquant la mort de 14 jeunes gens qui fêtaient un anniversaire dans la nuit du 5 au 6 août.
Interpellés, les deux SDF, âgés de 38 et 29 ans, ont été placés en garde à vue à l'hôtel de police. L'enquête va devoir établir si cet acte de vandalisme peut avoir un rapport (une vengeance ?) avec le drame du Cuba Libre.
Vers 22 heures 30, les policiers sont internés rue Pelletier à Déville-les-Rouen pour deux individus alcoolisés sur la voie publique. Les deux individus qui ont déclaré être sans domicile fixe venaient de faire exploser à coups de barre de fer la vitre arrière d'une Mercedes garée à proximité.
Il s'est avéré que le véhicule appartient au gérant du restaurant rouennais qui a brûlé accidentellement provoquant la mort de 14 jeunes gens qui fêtaient un anniversaire dans la nuit du 5 au 6 août.
Interpellés, les deux SDF, âgés de 38 et 29 ans, ont été placés en garde à vue à l'hôtel de police. L'enquête va devoir établir si cet acte de vandalisme peut avoir un rapport (une vengeance ?) avec le drame du Cuba Libre.
[ Dernière heure ] Pas de lien avec le drame du "Cuba Libre"
Les auteurs des dégradations ont été remis en liberté à l'issue de leur garde à vue dans l'après-midi. Les policiers leur ont notifié une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (plaider-coupable) pour le 12 décembre prochain. A défaut de se présenter ce jour-là, ils feront l'objet d'une citation par officier de police judiciaire (COPJ) pour le mois de mars 2017.
Les investigations n'ont pas permis d'établir un lien entre les faits commis dimanche soir à Déville-lès-Rouen sur le véhicule du gérant du "Cuba Libre" et le drame qui s'est produit début août dans ce même établisssement où un incendie accidentel a fait 14 victimes. Les mis en cause ont toutefois indiqué, lors de leur interrogatoire, qu'ils savaient à qui appartenait la Mercedes. L'un d'eux a évoqué un différend qu'il aurait eu par le passé avec ce commerçant, sans relation avec l'incendie.
Les investigations n'ont pas permis d'établir un lien entre les faits commis dimanche soir à Déville-lès-Rouen sur le véhicule du gérant du "Cuba Libre" et le drame qui s'est produit début août dans ce même établisssement où un incendie accidentel a fait 14 victimes. Les mis en cause ont toutefois indiqué, lors de leur interrogatoire, qu'ils savaient à qui appartenait la Mercedes. L'un d'eux a évoqué un différend qu'il aurait eu par le passé avec ce commerçant, sans relation avec l'incendie.