Une dispute conjugale a mal tourné au domicile d'un couple d'Écos, dans l'Eure, mercredi 16 décembre.
Vers 23h30, la gendarmerie est appelée à intervenir pour un homme de 60 ans qui indique avoir être été blessé à une main d'un coup de couteau. A leur arrivée , les militaires de la brigade d'Écos sont confrontés à une situation délicate. L'épouse de la victime, à l'origine de la blessure, s'est enfermée dans sa cuisine et refuse d'en sortir, malgré les injonctions des forces de l'ordre qui tentent de la raisonner en parlementant avec elle.
La sexagénaire, qui souffre d'un trouble du comportement selon son époux, est très agressive. Craignant qu'elle puisse attenter à ses jours, les gendarmes décident alors d'investir de force la cuisine pour la désarmer.
La femme se rebelle et s'en prend violemment aux militaires qui sont insultés. Elle est finalement interpellée.
Ramenée à la brigade, la sexagénaire, toujours très excitée, insulte encore les gendarmes. Elle est conduite à l'hôpital de Vernon où le médecin qui l'examine, jugeant son état incompatible avec son placement en garde à vue, a décidé de l'hospitaliser.
Elle sera auditionnée par les gendarmes dès sa sortie de l'hôpital.
Vers 23h30, la gendarmerie est appelée à intervenir pour un homme de 60 ans qui indique avoir être été blessé à une main d'un coup de couteau. A leur arrivée , les militaires de la brigade d'Écos sont confrontés à une situation délicate. L'épouse de la victime, à l'origine de la blessure, s'est enfermée dans sa cuisine et refuse d'en sortir, malgré les injonctions des forces de l'ordre qui tentent de la raisonner en parlementant avec elle.
La sexagénaire, qui souffre d'un trouble du comportement selon son époux, est très agressive. Craignant qu'elle puisse attenter à ses jours, les gendarmes décident alors d'investir de force la cuisine pour la désarmer.
La femme se rebelle et s'en prend violemment aux militaires qui sont insultés. Elle est finalement interpellée.
Ramenée à la brigade, la sexagénaire, toujours très excitée, insulte encore les gendarmes. Elle est conduite à l'hôpital de Vernon où le médecin qui l'examine, jugeant son état incompatible avec son placement en garde à vue, a décidé de l'hospitaliser.
Elle sera auditionnée par les gendarmes dès sa sortie de l'hôpital.