-
« Emmanuel Macron, président de la République, vient de procéder à la nomination d’Édouard Philippe en tant que Premier Ministre, jusqu’aux élections législatives des 11 et 18 juin prochains.
Un Normand succède donc à un autre Normand, à Matignon.
C’est l’occasion de saluer le travail accompli par Bernard Cazeneuve, dans cette fonction, mais aussi toutes celles qu’il a occupées durant le quinquennat. Sa sobriété, son humanité et son efficacité en font un homme d’Etat rare, dont la France aura encore besoin.
Peu connu des Français, Edouard Philippe l’est davantage des Seinomarins, pour avoir siégé au Conseil Régional de Haute-Normandie, puis au Conseil Général de Seine-Maritime, avant de devenir Maire et Député du Havre, mais aussi Président de la Communauté d’Agglomération et du Pôle Métropolitain.
Outre ce cumul, les politiques qu’il mène localement sont aussi connues et édifiantes : privatisation de certains services municipaux, fermeture d’un collège de quartier populaire, défaut de soutien au commerce de proximité, sous-investissement dans l’éducation, recul de la mixité sociale, augmentation du tarif des musées...
Ces choix confirment une sensibilité de droite, même « juppéiste », dont nous ne voulons pas qu’elle domine la prochaine législature.
Ainsi, la nomination du Premier Ministre clarifie la question posée à nos concitoyens, et particulièrement aux Seinomarins, à l’occasion des élections législatives, quant à l’orientation du gouvernement qui en sortira.
Nicolas Rouly déclare : « Le savoir-faire et l’ouverture d’esprit de l’exécutif ne suffiront pas : pour permettre à la France d’avancer encore, sans faire reculer les droits des Français, il faut envoyer à l’Assemblée Nationale des députés socialistes, représentants de la gauche qui agit, constructive et vigilante.
C’est le choix que nous proposons dans les dix circonscriptions de Seine-Maritime : des élus solides et proches, pour peser utilement en faveur de l’emploi, l’éducation, la sécurité, la santé, les retraites, le logement, la transition énergétique ».
• Nicolas Rouly, secrétaire de la fédération du Parti socialiste de Seine-Maritime.
« Emmanuel Macron, président de la République, vient de procéder à la nomination d’Édouard Philippe en tant que Premier Ministre, jusqu’aux élections législatives des 11 et 18 juin prochains.
Un Normand succède donc à un autre Normand, à Matignon.
C’est l’occasion de saluer le travail accompli par Bernard Cazeneuve, dans cette fonction, mais aussi toutes celles qu’il a occupées durant le quinquennat. Sa sobriété, son humanité et son efficacité en font un homme d’Etat rare, dont la France aura encore besoin.
Peu connu des Français, Edouard Philippe l’est davantage des Seinomarins, pour avoir siégé au Conseil Régional de Haute-Normandie, puis au Conseil Général de Seine-Maritime, avant de devenir Maire et Député du Havre, mais aussi Président de la Communauté d’Agglomération et du Pôle Métropolitain.
Outre ce cumul, les politiques qu’il mène localement sont aussi connues et édifiantes : privatisation de certains services municipaux, fermeture d’un collège de quartier populaire, défaut de soutien au commerce de proximité, sous-investissement dans l’éducation, recul de la mixité sociale, augmentation du tarif des musées...
Ces choix confirment une sensibilité de droite, même « juppéiste », dont nous ne voulons pas qu’elle domine la prochaine législature.
Ainsi, la nomination du Premier Ministre clarifie la question posée à nos concitoyens, et particulièrement aux Seinomarins, à l’occasion des élections législatives, quant à l’orientation du gouvernement qui en sortira.
Nicolas Rouly déclare : « Le savoir-faire et l’ouverture d’esprit de l’exécutif ne suffiront pas : pour permettre à la France d’avancer encore, sans faire reculer les droits des Français, il faut envoyer à l’Assemblée Nationale des députés socialistes, représentants de la gauche qui agit, constructive et vigilante.
C’est le choix que nous proposons dans les dix circonscriptions de Seine-Maritime : des élus solides et proches, pour peser utilement en faveur de l’emploi, l’éducation, la sécurité, la santé, les retraites, le logement, la transition énergétique ».
• Pascal Martin, Président du Département de Seine-Maritime, a tenu à réagir à la nomination d'Édouard Philippe
« Je salue la nomination d’Edouard Philippe à l’une des plus hautes fonctions de notre État. Je suis convaincu qu’il sera à la hauteur des responsabilités exigeantes qui lui sont confiées. Il possède de grandes valeurs humaines et incarne la volonté de renouveau exprimée par les Français à l’occasion de l’élection présidentielle. Je lui souhaite de réussir dans cette mission difficile.
Edouard Philippe, Député-Maire de la ville du Havre, est un élu de proximité qui s’est toujours investi pleinement dans ses fonctions. Après avoir succédé à Antoine Rufenacht à la tête de la cité océane, il a su parfaitement poursuivre son action : redynamiser, moderniser et ouvrir la ville sur son avenir.
Première ville de la Seine-Maritime, Le Havre et son agglomération bénéficient aujourd’hui d’une attractivité remarquable dans de nombreux domaines: infrastructures, culture, tourisme, urbanisme,... tout en conservant son authenticité, son histoire et un fort attachement à la valeur du travail.
La nomination d’Edouard Philippe à la tête du Gouvernement est donc une chance pour la France mais aussi pour notre département. Je suis certain qu’il saura faire avancer les grands dossiers de la Seine-Maritime, notamment ceux inhérents au développement de l’axe Seine.
Je tiens à lui adresser toutes mes félicitions et toute mon amitié. »
• Yoann Lavernhe, conseiller municipal de Lillebonne et vice-président SPL Caux Seine Agglo.
« Edouard Philippe, nouveau Premier Ministre est une bonne chose pour plusieurs raisons.
Au delà de ses qualités reconnues, avoir un fervent défenseur de l'axe Seine au plus haut sommet de l'Etat est une chance pour notre territoire et pour les emplois qui en découlent sur notre territoire. Avec la crainte du Canal Seine Nord comme une épée de Damocles au dessus de nos territoire c'est un soulagement.
Deuxièmement, il participe au renouvellement politique qui est nécessaire et plébiscité par les français et que j'appelle de mes voeux depuis plusieurs mois.»