La circulation a été particulièrement perturbée dans les rues de Rouen ce jeudi 7 novembre, dans la matinée. Deux manifestations bien dictintes étaien,t organisées. D'un côté, il y avait les lycéens de plusieurs établissements (Corneille, Jeanne d'Arc et Saint-Saëns) qui s'étaient donnés rendez-vous devant le Rectorat. Ils étaient un peu moins de 300 selon les estimations de la police. Les jeunes gens sont descendus dans la rue pour prendre la défense de Léonarda cette jeune fille expulsée au Kosovo par les autorités françaises. Mais aussi contre toutes formes de reconduite à la frontière.
150 chevaux dans la manifestation
Pour une toute autre cause, les propriétaires des centres équestres de Haute-Normandie ont enfourché leurs chevaux pour venir à Rouen protester contre le passage de leur TVA de 7% à 20% à compter du 1er janvier 2014. Environ 450 d'entre eux, selon la police, se sont donc retrouvés dans la capitale haut-normande très tôt ce matin. Nombreux avaient fait le déplacement avec leurs chevaux et grands poneys, histoire de bien marquer le coup. Le cortège ouvert par 150 équidés est allé de la préfecture (où une délégation a été reçue) jusqu'à l'hôtel de ville.
Il n'y a pas eu d'incident mais la manifestation a généré bien des embouteillages sur son passage. Prévoyants, les services de police avaient mis en place des déviations temporaires.
150 chevaux dans la manifestation
Pour une toute autre cause, les propriétaires des centres équestres de Haute-Normandie ont enfourché leurs chevaux pour venir à Rouen protester contre le passage de leur TVA de 7% à 20% à compter du 1er janvier 2014. Environ 450 d'entre eux, selon la police, se sont donc retrouvés dans la capitale haut-normande très tôt ce matin. Nombreux avaient fait le déplacement avec leurs chevaux et grands poneys, histoire de bien marquer le coup. Le cortège ouvert par 150 équidés est allé de la préfecture (où une délégation a été reçue) jusqu'à l'hôtel de ville.
Il n'y a pas eu d'incident mais la manifestation a généré bien des embouteillages sur son passage. Prévoyants, les services de police avaient mis en place des déviations temporaires.