Photo d'illustration
SEINE-MARITIME. Une jeune femme de 19 ans, originaire de Bolbec, comparaitra le 28 octobre prochain devant le tribunal correctionnel du Havre. Les faits dont elle est accusée pourraient lui valoir au mieux une peine de prison avec sursis et une forte amende.
A l'origine de ses ennuis judiciaires, une plainte d'une pensionnaire de la résidence pour personnes âgées de Bolbec pour le vol et l'utilisation frauduleuse de son chéquier. La victime, âgée de 73 ans, découvre le pot aux roses le 15 mai dernier. Les policiers de la brigade de la sûreté urbaine de Bolbec commencent leur enquête et parviennent à établir rapidement que trois chèques provenant du carnet de la septuagénaire ont été utilisés, les 16 et 19 mai, dans le magasin Mutant, à Gruchet-le-Valasse.
Démasqués en passant à la caisse
Un autre chèque a également été utilisé pour l'achat d'un quad à un habitant de Notre-Dame-de-Bondeville, dans la banlieue de Rouen. Mais le chèque d'un montant de 1 700 euros a été rejeté par la banque.
Les enquêteurs disposaient déjà alors du signalement d'un couple de suspects grâce aux témoignages d'employées du supermarché discount. Des suspects assez culottés pour revenir le 5 juin dans ce même magasin Mutant et tenter de payer à nouveau avec un chèque volé. Mais cette fois, la caissière tique : elle refuse de prendre le chèque expliquant qu'il est signalé volé. Le couple comprend qu'il est démasqué et prend la fuite en laissant les marchandises sur place.
La victime reconnaît sa voisine
Les policiers dressent un "portrait-robot" assez précis de la jeune femme. Tant et si bien que la septuagénaire finit par reconnaître à travers cette description une voisine avec laquelle elle avait sympathisé et qui demeure dans le secteur de la résidence pour personnes âgées. La jeune femme lui faisait ses courses et sortait son chien.
Interpellée le 6 juin en tout début de matinée à son domicile à Bolbec, la suspecte a reconnu les faits. Avec la complicité de son beau-frère qui l'accompagnait dans le magasin Mutant. Ce dernier, âgé de 19 ans, a été interpellé le même jour vers 13 heures. En garde à vue, il a avoué avoir tenté de payer le quad avec un des chèques volés à la retraitée.
A l'origine de ses ennuis judiciaires, une plainte d'une pensionnaire de la résidence pour personnes âgées de Bolbec pour le vol et l'utilisation frauduleuse de son chéquier. La victime, âgée de 73 ans, découvre le pot aux roses le 15 mai dernier. Les policiers de la brigade de la sûreté urbaine de Bolbec commencent leur enquête et parviennent à établir rapidement que trois chèques provenant du carnet de la septuagénaire ont été utilisés, les 16 et 19 mai, dans le magasin Mutant, à Gruchet-le-Valasse.
Démasqués en passant à la caisse
Un autre chèque a également été utilisé pour l'achat d'un quad à un habitant de Notre-Dame-de-Bondeville, dans la banlieue de Rouen. Mais le chèque d'un montant de 1 700 euros a été rejeté par la banque.
Les enquêteurs disposaient déjà alors du signalement d'un couple de suspects grâce aux témoignages d'employées du supermarché discount. Des suspects assez culottés pour revenir le 5 juin dans ce même magasin Mutant et tenter de payer à nouveau avec un chèque volé. Mais cette fois, la caissière tique : elle refuse de prendre le chèque expliquant qu'il est signalé volé. Le couple comprend qu'il est démasqué et prend la fuite en laissant les marchandises sur place.
La victime reconnaît sa voisine
Les policiers dressent un "portrait-robot" assez précis de la jeune femme. Tant et si bien que la septuagénaire finit par reconnaître à travers cette description une voisine avec laquelle elle avait sympathisé et qui demeure dans le secteur de la résidence pour personnes âgées. La jeune femme lui faisait ses courses et sortait son chien.
Interpellée le 6 juin en tout début de matinée à son domicile à Bolbec, la suspecte a reconnu les faits. Avec la complicité de son beau-frère qui l'accompagnait dans le magasin Mutant. Ce dernier, âgé de 19 ans, a été interpellé le même jour vers 13 heures. En garde à vue, il a avoué avoir tenté de payer le quad avec un des chèques volés à la retraitée.