Les auteurs d'une tentative de cambriolage ont pu être interpellés par les forces de l'ordre grâce à la vigilance d'un habitant, témoin des faits.
Des faits qui se déroulent le mardi 29 novembre en milieu d'après-midi, à Bourgtheroulde-Infreville, dans l'Eure.
Un habitant remarque dans la propriété de son voisin trois inconnus au comportement bizarre. Il les soupçonne d'être des cambrioleurs s'apprêtant à passer à l'action. Sans attendre, il compose le 17 et entre en contact avec le centre d'opérations et de renseignement (CORG) de la gendarmerie, basé à Evreux.
Lacrymogène, gants, cagoule...
Immédiatement, l'opérateur du CORG alerte une patrouille de motards en service à proximité immédiate du lieu indiqué par le témoin. Tout va alors très vite. Les gendarmes, disposant du signalement des suspects, repèrent rapidement les trois hommes alors qu'ils tentent de prendre la fuite à bord de leur véhicule. Ils sont interpellés et placés en garde à vue.
Dans le véhicule, les gendarmes découvrent tout l'attirail du cambrioleur : une bombe lacrymogène, une lampe-torche, des gants et une cagoule. Ce qui en dit long sur les motivations du trio.
Jugés en comparution immédiate
Déférés au palais de justice d'Évreux à l'issue de la garde à vue, deux des trois mis en cause sont jugés en comparution immédiate pour tentative de cambriolage le 1er décembre 2016. Ils sont condamnés à 2 mois de prison par le tribunal correctionnel.
Le troisième, mineur, est placé dans foyer d'accueil, en attendant de comparaître devant le juge pour enfants, en vue de sa mise en examen.
Le véhicule utilisé lors de cette tentative de cambriolage a été confisqué et sera détruit.
La conclusion de la gendarmerie
Sur sa page Facebook où elle relate cette affaire, la gendarmerie de l'Eure, a cette conclusion : "Cette affaire illustre bien l'efficacité d'une alerte rapide des forces de l'ordre en cas de doute sur un individu, un véhicule ou un comportement clairement suspect et l'engagement possible de l'ensemble des unités de gendarmerie présentes sur le terrain".
"Il montre aussi l'intérêt de ne pas signaler la présence des gendarmes auprès d'autres "automobilistes"...
Des faits qui se déroulent le mardi 29 novembre en milieu d'après-midi, à Bourgtheroulde-Infreville, dans l'Eure.
Un habitant remarque dans la propriété de son voisin trois inconnus au comportement bizarre. Il les soupçonne d'être des cambrioleurs s'apprêtant à passer à l'action. Sans attendre, il compose le 17 et entre en contact avec le centre d'opérations et de renseignement (CORG) de la gendarmerie, basé à Evreux.
Lacrymogène, gants, cagoule...
Immédiatement, l'opérateur du CORG alerte une patrouille de motards en service à proximité immédiate du lieu indiqué par le témoin. Tout va alors très vite. Les gendarmes, disposant du signalement des suspects, repèrent rapidement les trois hommes alors qu'ils tentent de prendre la fuite à bord de leur véhicule. Ils sont interpellés et placés en garde à vue.
Dans le véhicule, les gendarmes découvrent tout l'attirail du cambrioleur : une bombe lacrymogène, une lampe-torche, des gants et une cagoule. Ce qui en dit long sur les motivations du trio.
Jugés en comparution immédiate
Déférés au palais de justice d'Évreux à l'issue de la garde à vue, deux des trois mis en cause sont jugés en comparution immédiate pour tentative de cambriolage le 1er décembre 2016. Ils sont condamnés à 2 mois de prison par le tribunal correctionnel.
Le troisième, mineur, est placé dans foyer d'accueil, en attendant de comparaître devant le juge pour enfants, en vue de sa mise en examen.
Le véhicule utilisé lors de cette tentative de cambriolage a été confisqué et sera détruit.
La conclusion de la gendarmerie
Sur sa page Facebook où elle relate cette affaire, la gendarmerie de l'Eure, a cette conclusion : "Cette affaire illustre bien l'efficacité d'une alerte rapide des forces de l'ordre en cas de doute sur un individu, un véhicule ou un comportement clairement suspect et l'engagement possible de l'ensemble des unités de gendarmerie présentes sur le terrain".
"Il montre aussi l'intérêt de ne pas signaler la présence des gendarmes auprès d'autres "automobilistes"...