La conduite hésitante et dangereuse de l'automobiliste n'a pas manqué d'attirer l'attention des policiers - Illustration
Deux policiers ont été blessés lors d'une interpellation dans la nuit de mardi à mercredi à Evreux (Eure). Peu avant minuit, un équipage de police secours, de passage rue Charles-Baudelaire dans le quartier de la Madeleine, remarque une Renault Laguna qui ne roule pas droit et fait des embardées.
Le véhicule est immédiatement intercepté sans difficulté. La situation se gâte au moment où les policiers demandent à l'automobiliste, un ébroïcien de 46 ans visiblement en état d'ébriété, de couper le contact. L'homme refuse, tout comme il refuse de montrer la carte grise et l'attestation d'assurance. Il refuse enfin de descendre du véhicule, malgré l'insistance des forces de l'ordre. Il donne en même temps des coups d'accélérateur
Le véhicule est immédiatement intercepté sans difficulté. La situation se gâte au moment où les policiers demandent à l'automobiliste, un ébroïcien de 46 ans visiblement en état d'ébriété, de couper le contact. L'homme refuse, tout comme il refuse de montrer la carte grise et l'attestation d'assurance. Il refuse enfin de descendre du véhicule, malgré l'insistance des forces de l'ordre. Il donne en même temps des coups d'accélérateur
Deux policiers déposent plainte
Face à la tournure des événements, la brigade anticriminalité est appelée en renfort. Le quadragénaire est extrait de sa voiture par la force. Il se rebelle alors, porte des coups de pied aux fonctionnaires.
A l'hôtel de police, il s'oppose au dépistage d'alcoolémie et stupéfiants, et se rebelle à nouveau. Il est finalement placé en garde à vue pour refus de se soumettre aux vérifications, rébellion et violences volontaires sur personne dépositaire de l'autorité publique.
Deux policiers, blessés, ont déposé plainte. L'un souffre d'une entorse à un doigt de la main droite, ce qui lui vaut 7 jours d'interruption totale de travail. Son collègue a été blessé au bras gauche.
A l'hôtel de police, il s'oppose au dépistage d'alcoolémie et stupéfiants, et se rebelle à nouveau. Il est finalement placé en garde à vue pour refus de se soumettre aux vérifications, rébellion et violences volontaires sur personne dépositaire de l'autorité publique.
Deux policiers, blessés, ont déposé plainte. L'un souffre d'une entorse à un doigt de la main droite, ce qui lui vaut 7 jours d'interruption totale de travail. Son collègue a été blessé au bras gauche.