Un Ébroïcien a été déféré ce vendredi après-midi au palais de justice d'Évreux (Eure) et devait être jugé en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel pour "apologie du terrorisme".
"Les islamistes devraient s'en prendre aux flics plutôt qu'à un curé", a déclaré cet homme de 19 ans dans la voiture de police qui le ramenait au commissariat en vue de son placement en garde à vue pour détention de stupéfiants.
Les faits. Ce vendredi matin vers 11h15, l'attention des policiers en patrouille à pied rue Voltaire dans le quartier de la Madeleine, à Évreux, a été attirée par le comportement bizarre du jeune homme à la vue des forces de l'ordre. Ils ont alors décidé de le contrôler et ont découvert qu'il était en possession d'une barrette de résine de cannabis.
Interpellé, le suspect a été invité à suivre les policiers. C'est alors qu'il a tenu ces propos en faisant référence à la fois à l'assassinat du prêtre Hamel à Saint-Étienne-du-Rouvray et au double assassinat d'un couple de policiers à Magnanville (Yvelines). Dans les deux cas, ces attentats ont été revendiqués par l'État islamique.
"Les islamistes devraient s'en prendre aux flics plutôt qu'à un curé", a déclaré cet homme de 19 ans dans la voiture de police qui le ramenait au commissariat en vue de son placement en garde à vue pour détention de stupéfiants.
Les faits. Ce vendredi matin vers 11h15, l'attention des policiers en patrouille à pied rue Voltaire dans le quartier de la Madeleine, à Évreux, a été attirée par le comportement bizarre du jeune homme à la vue des forces de l'ordre. Ils ont alors décidé de le contrôler et ont découvert qu'il était en possession d'une barrette de résine de cannabis.
Interpellé, le suspect a été invité à suivre les policiers. C'est alors qu'il a tenu ces propos en faisant référence à la fois à l'assassinat du prêtre Hamel à Saint-Étienne-du-Rouvray et au double assassinat d'un couple de policiers à Magnanville (Yvelines). Dans les deux cas, ces attentats ont été revendiqués par l'État islamique.