Jean Louis Destans, le président du Conseil général lors de l'inauguration de l'exposition (Photo DR)
Que se passait-il à l’arrière du front pendant la 1ère Guerre mondiale ?
Les Archives Départementales proposent aux visiteurs de trouver des éléments de réponse dans l'exposition qu'elles présentent jusqu'au 3 avril prochain et qui retrace la vie quotidienne des habitants avec des documents d’époque.
Pour célébrer le centenaire de la 1ère Guerre mondiale, les Archives départementales de l’Eure ont conçu une exposition pour présenter de manière simple mais scientifiquement fondée, les réalités de notre territoire durant la période 1914-1918. Même si l’Eure n’a pas connu les batailles et les tranchées, la population vivait au rythme de la guerre, bouleversant, pour certaines personnes, leur vie à jamais.
A travers une vingtaine de panneaux et une dizaine de vitrines révélant des documents originaux, cette exposition retrace le quotidien des Eurois d’origine (femmes, enfants, soldats…) ou de passage (ouvriers immigrés, prisonniers…) depuis les prémices du conflit jusqu’à l’Armistice.
Les Archives Départementales proposent aux visiteurs de trouver des éléments de réponse dans l'exposition qu'elles présentent jusqu'au 3 avril prochain et qui retrace la vie quotidienne des habitants avec des documents d’époque.
Pour célébrer le centenaire de la 1ère Guerre mondiale, les Archives départementales de l’Eure ont conçu une exposition pour présenter de manière simple mais scientifiquement fondée, les réalités de notre territoire durant la période 1914-1918. Même si l’Eure n’a pas connu les batailles et les tranchées, la population vivait au rythme de la guerre, bouleversant, pour certaines personnes, leur vie à jamais.
A travers une vingtaine de panneaux et une dizaine de vitrines révélant des documents originaux, cette exposition retrace le quotidien des Eurois d’origine (femmes, enfants, soldats…) ou de passage (ouvriers immigrés, prisonniers…) depuis les prémices du conflit jusqu’à l’Armistice.
Elle révèle :
• un territoire impliqué dans l’effort de guerre, par la mobilisation des troupes, puis celle de l’économie locale mais aussi des esprits,
• un territoire touché par la guerre, directement par l’offensive d’Etrépagny en 1914, et par les bombardements, ou indirectement, par l’afflux des réfugiés ou le retour des blessés,
• un territoire qui vit à l’heure de la guerre, bouleversant la vie quotidienne, mais faisant évoluer la place des femmes dans la société et émerger de nouvelles aspirations sociales,
• un territoire dont l’histoire au cours de cette période peut s’incarner dans quelques figures-clés, personnages célèbres ou anonymes, qui permettent de la rendre plus accessible au grand public.
• un territoire impliqué dans l’effort de guerre, par la mobilisation des troupes, puis celle de l’économie locale mais aussi des esprits,
• un territoire touché par la guerre, directement par l’offensive d’Etrépagny en 1914, et par les bombardements, ou indirectement, par l’afflux des réfugiés ou le retour des blessés,
• un territoire qui vit à l’heure de la guerre, bouleversant la vie quotidienne, mais faisant évoluer la place des femmes dans la société et émerger de nouvelles aspirations sociales,
• un territoire dont l’histoire au cours de cette période peut s’incarner dans quelques figures-clés, personnages célèbres ou anonymes, qui permettent de la rendre plus accessible au grand public.
Comment cette exposition a-t-elle été conçue ?
C’est grâce aux fonds d’archives publiques réglementairement versés par les administration du département et conservés par les Archives départementales qu’une telle exposition a pu être réalisée, mais également grâce aux fonds d’archives donnés ou déposés par des entités privées (particuliers, entreprises, association…).
Ainsi, le fonds documentaires conservés a été largement exploité afin de faire ressortir des données et des évènements locaux. Cela permet d’adopter un angle de vue différent sur certains évènements en valorisant des témoins ignorés de l’histoire locale de la Grande guerre : un photographe de Saint-André-de-l’Eure, le commissaire de police de Vernon, un journaliste de Bernay…
L’exposition « L’Eure dans la guerre : vivre à l’arrière. 1914-1918 » a reçu le label de la Mission du centenaire, lui permettant de figurer au programme des commémorations nationales. Afin qu’un maximum d’habitants puissent en profiter, elle a été conçue de telle manière à permettre son itinérance.
Les panneaux d’exposition pourront donc largement circuler auprès des communes, des institutions culturelles et des établissements scolaires qui le souhaitent. Chaque commune pourra ainsi adapter l’exposition au contexte local en exposant ses propres archives. Les médiathèques de Bernay et de Louviers ont d’ores et déjà souhaité la présenter dans leurs locaux.
C’est grâce aux fonds d’archives publiques réglementairement versés par les administration du département et conservés par les Archives départementales qu’une telle exposition a pu être réalisée, mais également grâce aux fonds d’archives donnés ou déposés par des entités privées (particuliers, entreprises, association…).
Ainsi, le fonds documentaires conservés a été largement exploité afin de faire ressortir des données et des évènements locaux. Cela permet d’adopter un angle de vue différent sur certains évènements en valorisant des témoins ignorés de l’histoire locale de la Grande guerre : un photographe de Saint-André-de-l’Eure, le commissaire de police de Vernon, un journaliste de Bernay…
L’exposition « L’Eure dans la guerre : vivre à l’arrière. 1914-1918 » a reçu le label de la Mission du centenaire, lui permettant de figurer au programme des commémorations nationales. Afin qu’un maximum d’habitants puissent en profiter, elle a été conçue de telle manière à permettre son itinérance.
Les panneaux d’exposition pourront donc largement circuler auprès des communes, des institutions culturelles et des établissements scolaires qui le souhaitent. Chaque commune pourra ainsi adapter l’exposition au contexte local en exposant ses propres archives. Les médiathèques de Bernay et de Louviers ont d’ores et déjà souhaité la présenter dans leurs locaux.
Les Archives départementales en chiffres
• 25 km de documents conservés
• 300 m linéaires d’accroissement annuel
• 5,5 millions de pages numérisées
• 11 000 documents communiqués en salle de lecture
• 422 000 visites annuelles sur le site Internet
• 26,5 millions d’images visualisées par an
Informations pratiques
Exposition ouverte jusqu'au 3 avril 2015, du mardi au vendredi, et les samedis 10 janvier, 7 février et 7 mars, de 9h à 12h et de 13h à 17h.
Archives départementales de l’Eure 2, rue de Verdun à Evreux.
http://archives.cg27.fr
Exposition ouverte jusqu'au 3 avril 2015, du mardi au vendredi, et les samedis 10 janvier, 7 février et 7 mars, de 9h à 12h et de 13h à 17h.
Archives départementales de l’Eure 2, rue de Verdun à Evreux.
http://archives.cg27.fr