Un homme de 34 ans a été mis en examen pour assassinat et placé en détention provisoire à l'issue d'une enquête qui avait été ouverte il y a plus d'un an.
En juin 2013, une jeune femme était découverte par son compagnon, pendue dans son logement à Fécamp. Les circonstances troubles de la mort avait conduit la justice, en avril 2014, à procéder à un réexamen des faits.
Un crime maquillé en suicide
L'enquête, confiée, à la brigade de recherches de Fécamp, appuyée par les techniciens en investigations criminelles (TIC) de Rouen, de la brigade départementale de renseignements et d'investigations judiciaires (BDRIJ), d'un analyste criminel, d'une psycho-criminologue du Havre et des unités territoriales de la compagnie de FECAMP « a mis en évidence un certain nombre d'incohérences impliquant le concubin », révèle la gendarmerie dans un communiqué publié ce jeudi 9 octobre.
Le suspect, âgé de 34 ans, placé en garde à vue hier mercredi 8 octobre, aurait reconnu être le responsable de la mort de sa compagne et d'avoir « maquillé » l'homicide volontaire en suicide par pendaison. Présenté devant un juge d'instruction du tribunal de grande instance du Havre, il a été mis en examen pour assassinat et écroué.
En juin 2013, une jeune femme était découverte par son compagnon, pendue dans son logement à Fécamp. Les circonstances troubles de la mort avait conduit la justice, en avril 2014, à procéder à un réexamen des faits.
Un crime maquillé en suicide
L'enquête, confiée, à la brigade de recherches de Fécamp, appuyée par les techniciens en investigations criminelles (TIC) de Rouen, de la brigade départementale de renseignements et d'investigations judiciaires (BDRIJ), d'un analyste criminel, d'une psycho-criminologue du Havre et des unités territoriales de la compagnie de FECAMP « a mis en évidence un certain nombre d'incohérences impliquant le concubin », révèle la gendarmerie dans un communiqué publié ce jeudi 9 octobre.
Le suspect, âgé de 34 ans, placé en garde à vue hier mercredi 8 octobre, aurait reconnu être le responsable de la mort de sa compagne et d'avoir « maquillé » l'homicide volontaire en suicide par pendaison. Présenté devant un juge d'instruction du tribunal de grande instance du Havre, il a été mis en examen pour assassinat et écroué.