Un habitant de Gisors qui menaçait de sauter par la fenêtre de son appartement au premier étage d'un immeuble, rue de la Libération, a été neutralisé à temps.
Les faits sont survenus ce vendredi 5 juin, vers 16h30. L'attention des passants est attirée par les vociférations d'un homme fortement alcoolisé qui est à la fenêtre de son appartement. Il menace de se jeter dans le vide.
Parmi les témoins de la scène, un gendarme en repos en compagnie de son enfant de quatre ans. Sans se poser de questions, le militaire de la brigade de Gisors, confie son enfant à la boulangère et demande à celle-ci d'appeler les secours.
Le gendarme (en civil) monte à toute vitesse au premier étage et d'un coup de pied sec ouvre la porte de l'appartement. Alors dans le logement, il remarque l'homme à sa fenêtre qui semble tituber : il se jette sur lui et le ceinture pour l'empêcher de sauter. Le quadragénaire est neutralisé. Les sapeurs-pompiers ainsi que les collègues du gendarme arrivent et le prennent en charge pour l'emmener au centre hospitalier de Gisors.
L'homme sera auditionné par les gendarmes dès que son état de santé le permettra.
Les faits sont survenus ce vendredi 5 juin, vers 16h30. L'attention des passants est attirée par les vociférations d'un homme fortement alcoolisé qui est à la fenêtre de son appartement. Il menace de se jeter dans le vide.
Parmi les témoins de la scène, un gendarme en repos en compagnie de son enfant de quatre ans. Sans se poser de questions, le militaire de la brigade de Gisors, confie son enfant à la boulangère et demande à celle-ci d'appeler les secours.
Le gendarme (en civil) monte à toute vitesse au premier étage et d'un coup de pied sec ouvre la porte de l'appartement. Alors dans le logement, il remarque l'homme à sa fenêtre qui semble tituber : il se jette sur lui et le ceinture pour l'empêcher de sauter. Le quadragénaire est neutralisé. Les sapeurs-pompiers ainsi que les collègues du gendarme arrivent et le prennent en charge pour l'emmener au centre hospitalier de Gisors.
L'homme sera auditionné par les gendarmes dès que son état de santé le permettra.