Aucun cas d’influenza aviaire n’a été détecté, assure la préfecture (Illustration © Pascal Xicluna / Min.Agri.Fr)
La découverte de plusieurs cas d’influenza aviaire (H5N8) dans l’avifaune sauvage et sur des volailles d’élevage commerciaux en Suisse et dans d’autres pays de l’Union européenne (Allemagne, Hongrie, Croatie, Danemark, Pologne, Pays-Bas), a conduit le ministère de l’Agriculture a relever le niveau de risque de transmission de cette maladie des oiseaux sauvages aux oiseaux domestiques et de le qualifier désormais de modéré en France et d’élevé sur toutes les communes des zones à risque particulier.
Quelles sont les conséquences de cette élévation du niveau de risque ?
En Seine-Maritime, 46 communes sont considérées « à risque particulier » c'est-à-dire à risque élevé. En plus des dispositions prises pour l'ensemble des communes du département (lire ce-dessous), s'ajoutent trois autres mesures :
• interdiction de rassemblements d’oiseaux,
• confinement ou pose de filets permettant d’empêcher tout contact avec la faune sauvage, des oiseaux d’élevage ou de basses-cours (même chez les particuliers),
• interdiction de lâchers de gibiers à plume.
Voir ici la liste de ces communes
Dans le département de l'Eure, la préfecture a dressé une liste de 56 communes à risque particulier, dans lesquelles le risque est élevé.
Voir ici la liste de ces communes
Pour toutes les communes de la Seine-Maritime et de l'Eure (risque modéré) :
* renforcement des mesures de biosécurité (exemple : éviter les contacts entre les oiseaux domestiques et la faune sauvage),
* surveillance quotidienne par les éleveurs de l’apparition des signes cliniques de la maladie chez leurs volailles ou oiseaux,
* surveillance de la mortalité des oiseaux sauvages qui doit être signalée
* interdiction du transport et de l’utilisation d ‘appelants pour la chasse aux gibiers d’eau,
* interdiction des lâchers de pigeons.
Aucun cas d’influenza aviaire n’a été détecté dans les élevages français ni sur les oiseaux de la faune sauvage à ce jour, il s’agit de mesures de prévention, assure la préfecture de Seine-Maritime.
Aucun cas humain mettant en cause ce virus H5N8 n’a été décrit ni en France, ni dans le monde, mais sa contagiosité chez les oiseaux impose des mesures strictes de prévention et de lutte afin de limiter les effets économiques.
Quelles sont les conséquences de cette élévation du niveau de risque ?
En Seine-Maritime, 46 communes sont considérées « à risque particulier » c'est-à-dire à risque élevé. En plus des dispositions prises pour l'ensemble des communes du département (lire ce-dessous), s'ajoutent trois autres mesures :
• interdiction de rassemblements d’oiseaux,
• confinement ou pose de filets permettant d’empêcher tout contact avec la faune sauvage, des oiseaux d’élevage ou de basses-cours (même chez les particuliers),
• interdiction de lâchers de gibiers à plume.
Voir ici la liste de ces communes
Dans le département de l'Eure, la préfecture a dressé une liste de 56 communes à risque particulier, dans lesquelles le risque est élevé.
Voir ici la liste de ces communes
Pour toutes les communes de la Seine-Maritime et de l'Eure (risque modéré) :
* renforcement des mesures de biosécurité (exemple : éviter les contacts entre les oiseaux domestiques et la faune sauvage),
* surveillance quotidienne par les éleveurs de l’apparition des signes cliniques de la maladie chez leurs volailles ou oiseaux,
* surveillance de la mortalité des oiseaux sauvages qui doit être signalée
* interdiction du transport et de l’utilisation d ‘appelants pour la chasse aux gibiers d’eau,
* interdiction des lâchers de pigeons.
Aucun cas d’influenza aviaire n’a été détecté dans les élevages français ni sur les oiseaux de la faune sauvage à ce jour, il s’agit de mesures de prévention, assure la préfecture de Seine-Maritime.
Aucun cas humain mettant en cause ce virus H5N8 n’a été décrit ni en France, ni dans le monde, mais sa contagiosité chez les oiseaux impose des mesures strictes de prévention et de lutte afin de limiter les effets économiques.