EURE - Trois véhicules dont une BMW série1, des bijoux et du matériel hi-fi ont été dérobés au cours d'un home jacking commis mardi 4 mars dans la commune de Saint-Julien-de-la-Liègre, dans la région de Gaillon. Selon toute vraisemblance, les malfaiteurs ont agi entre 4 h 30 et 7 heures du matin, dans une propriété située un peu à l'écart du bourg et alors que les propriétaires qui travaillent sur Paris étaient absents.
Le préjudice en cours d'estimation
Les gendarmes, qui ont été prévenus plus tard, ont constaté que la porte d'entrée était fracturée. Les individus, au nombre de trois au moins, ont fait irruption dans la demeure et se sont emparés des jeux de clés des trois véhicules stationnés dans la propriété, à savoir une BMW série 1, une Renault Mégane et une Mazda. Ils ont également fait main basse, selon les victimes, sur du matériel hi-fi et des bijoux de famille. Le montant du préjudice était toujours en cours d'estimation ce mercredi 5 mars.
Une enquête a été ouverte par les gendarmes de la communauté de brigade de Gaillon, épaulés par la brigade de recherches (BR) de Louviers. La cellule d'identification criminelle (CIC) est venu dans la matinée de mardi pour procéder à des relevés d'indices et d'éventuelles empreintes génétiques.
Les investigations s'annoncent particulièrement difficiles : hormis le témoignage d'un voisin qui a entendu un bruit suspect, mais qui n'a pas jugé utile de prévenir la gendarmerie, les enquêteurs disposent de très peu d'éléments.
Le préjudice en cours d'estimation
Les gendarmes, qui ont été prévenus plus tard, ont constaté que la porte d'entrée était fracturée. Les individus, au nombre de trois au moins, ont fait irruption dans la demeure et se sont emparés des jeux de clés des trois véhicules stationnés dans la propriété, à savoir une BMW série 1, une Renault Mégane et une Mazda. Ils ont également fait main basse, selon les victimes, sur du matériel hi-fi et des bijoux de famille. Le montant du préjudice était toujours en cours d'estimation ce mercredi 5 mars.
Une enquête a été ouverte par les gendarmes de la communauté de brigade de Gaillon, épaulés par la brigade de recherches (BR) de Louviers. La cellule d'identification criminelle (CIC) est venu dans la matinée de mardi pour procéder à des relevés d'indices et d'éventuelles empreintes génétiques.
Les investigations s'annoncent particulièrement difficiles : hormis le témoignage d'un voisin qui a entendu un bruit suspect, mais qui n'a pas jugé utile de prévenir la gendarmerie, les enquêteurs disposent de très peu d'éléments.