Le pistolet à impulsion électrique est une arme de catégorie D (ex-7ème catégorie) dont le port est interdit
VAL-DE-REUIL (Eure). Il vociférait torse-nu dans la rue, lundi en milieu de matinée, quand les policiers, alertés par un témoin, sont arrivés. L'homme, très excité, a menacé les fonctionnaires du commissariat de Louviers/Val-de-Reuil avec un pistolet à impulsion électrique (Taser). Il a pu être interpellé sans violence. Placé en garde à vue il a expliqué qu'il avait acheté cette arme pour sa mère, pour qu'elle puisse se protéger.
Une version qui n'a pas empêcher les policiers à dresser une procédure pour port d'arme illicite. L'homme, âgé de 33 ans et originaire de Reims - Il était venu rendre visite à ses parents qui habitent à Val-de-Reuil - s'est vu notifier une convocation devant le tribunal correctionnel d'Evreux à la date du 17 février prochain.
Hospitalisé en milieu psychiatrique
A peine l'avaient-ils été remis en liberté que les policiers ont reçu un nouvel appel. Cette fois, le Rémois venait de rouer de coups son père pour des raisons qu'il n'a pas expliquées. Les faits sont survenus devant la maison familiale. Placé de nouveau en garde à vue, l'individu a été finalement examiné par un médecin. Estimant qu'il pouvait être dangereux pour lui-même et pour autrui, le praticien a demandé son hospitalisation en milieu psychiatrique. Un arrêté de placement d'office a donc été signé par le maire de Val-de-Reuil.
Une version qui n'a pas empêcher les policiers à dresser une procédure pour port d'arme illicite. L'homme, âgé de 33 ans et originaire de Reims - Il était venu rendre visite à ses parents qui habitent à Val-de-Reuil - s'est vu notifier une convocation devant le tribunal correctionnel d'Evreux à la date du 17 février prochain.
Hospitalisé en milieu psychiatrique
A peine l'avaient-ils été remis en liberté que les policiers ont reçu un nouvel appel. Cette fois, le Rémois venait de rouer de coups son père pour des raisons qu'il n'a pas expliquées. Les faits sont survenus devant la maison familiale. Placé de nouveau en garde à vue, l'individu a été finalement examiné par un médecin. Estimant qu'il pouvait être dangereux pour lui-même et pour autrui, le praticien a demandé son hospitalisation en milieu psychiatrique. Un arrêté de placement d'office a donc été signé par le maire de Val-de-Reuil.