Toutes les établissements scolaires - écoles, collèges et lycées publics et privés sous contrat - du département de la Seine-Maritime, qui ont pu être impactés par l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen, seront ouverts demain lundi 30 septembre à l'issue des opérations de contrôle ou, pour les établissements souillées, des opérations de nettoyage, annonce ce soir l’Académie de Rouen.
La vérification des informations sur la situation des derniers sites a été réalisée au cours de ce dimanche après-midi.
À 14h aujourd'hui dimanche, 25 écoles devaient encore faire l’objet de vérifications.
À cette heure, tous les sites scolaires seront en mesure d’accueillir les élèves lundi matin.
« Les informations recueillies auprès de tous les sites scolaires ont permis de vérifier que l’ensemble des collectivités territoriales de rattachement (Communes, Département, Région) ou acteurs privés ont, pour les établissements concernés, bien effectué les nettoyages recommandés dans le cadre du protocole de l’Agence Régionale de Santé », peut-on lire dans le communiqué de l'académie, diffusé en fin fin d’après-midi.
La vérification des informations sur la situation des derniers sites a été réalisée au cours de ce dimanche après-midi.
À 14h aujourd'hui dimanche, 25 écoles devaient encore faire l’objet de vérifications.
À cette heure, tous les sites scolaires seront en mesure d’accueillir les élèves lundi matin.
L'université n'exclut pas de se porter partie civile
L’Université de Rouen Normandie confirme de son côté l’ouverture de l’ensemble de ses campus ce lundi 30 septembre et indique qu'un Comité d'hygiène et de sécurité (CHSCT) exceptionnel sera convoqué le 3 octobre « afin de présenter l’ensemble des mesures mises en place dans notre établissement et d’échanger sur les conséquences à moyen et long terme de cet accident industriel pour les personnels et usagers ».
L'ensemble des chercheurs des laboratoires de l'université va être sollicité pour engager des études sur les conséquences de cette catastrophe. « L’université souhaite que toute la lumière soit faite sur l’origine de cette catastrophe et se réserve la possibilité de se porter partie civile », déclare son président Joël Alexandre, dans un communiqué publié sur le site de l'université.
L'ensemble des chercheurs des laboratoires de l'université va être sollicité pour engager des études sur les conséquences de cette catastrophe. « L’université souhaite que toute la lumière soit faite sur l’origine de cette catastrophe et se réserve la possibilité de se porter partie civile », déclare son président Joël Alexandre, dans un communiqué publié sur le site de l'université.