Le chiot âgé de trois mois a été confié au refuge de la SNPA (Illustration)
Deux enquêtes ont été ouvertes afin de faire toute la lumière sur les circonstances bien particulières d'un vol, celui d'un chiot de quelques mois, à Caudebec-lès-Elbeuf, en Seine-Maritime.
A l'origine, les policiers sont saisis d'une plainte : un habitant de la rue Maurice-Ravel signale qu'on lui a volé son American Staff âgé de trois mois. L'animal se trouvait dans une courette attenant à son appartement lorsqu'il a disparu vers midi ce lundi 14 mars.
Le voisin se défend d'être le voleur
Le propriétaire, âgé de 33 ans, soupçonne alors son voisin immédiat. Les policiers constatent que la cour est close de toute part, seule une fenêtre protégée par des barreaux donne sur la cour de l'habitation voisine. Ils questionnent donc ce voisin, un homme de 35 ans, qui dément fermement avoir volé l'animal.
Ce dernier soupçonne à son tour un autre voisin. Mais lui aussi récuse les accusations dont il fait l'objet. Preuve de sa bonne foi, il propose même aux policiers de regarder dans son logement.
Dans un but sanitaire
Alors que les enquêteurs s'interrogent à voix haute, le premier voisin soupçonné revient sur ses déclarations et avoue avoir dérobé en effet le chiot avec l'aide de la fille du second voisin.
A cet instant, l'affaire commence à s'éclaircir. La jeune femme (23 ans) est contactée et consent à ramener l'animal dans l'après-midi. Aux policiers du groupe de sécurité de proximité (GSP) elle confie avoir volé le chien dans un but uniquement sanitaire, parce qu'il était, à ses yeux, en très mauvaise santé. Elle explique l'avoir emmené dans un dispensaire de la SPA à Petit-Quevilly pour le faire examiner et soigner.
Le chiot est confié à un refuge
De fait, les policiers constataient que le chiot, amaigri, présentait des irritations au niveau du pelage et des blessures légères en dessous des pattes. L'animal vivait dans une courette de six mètres carrés dont le sol est bétonné et recouvert d'immondices et de déjections.
Les auteurs présumés du vol ont été laissés libres, et le chiot a été confié au refuge de la SNPA de Rouen en attendant une décision de justice.
Deux enquêtes ont été ouvertes : une pour déterminer les conditions du vol, une autre à l'encontre du propriétaire pour mauvais traitement à animal.
A l'origine, les policiers sont saisis d'une plainte : un habitant de la rue Maurice-Ravel signale qu'on lui a volé son American Staff âgé de trois mois. L'animal se trouvait dans une courette attenant à son appartement lorsqu'il a disparu vers midi ce lundi 14 mars.
Le voisin se défend d'être le voleur
Le propriétaire, âgé de 33 ans, soupçonne alors son voisin immédiat. Les policiers constatent que la cour est close de toute part, seule une fenêtre protégée par des barreaux donne sur la cour de l'habitation voisine. Ils questionnent donc ce voisin, un homme de 35 ans, qui dément fermement avoir volé l'animal.
Ce dernier soupçonne à son tour un autre voisin. Mais lui aussi récuse les accusations dont il fait l'objet. Preuve de sa bonne foi, il propose même aux policiers de regarder dans son logement.
Dans un but sanitaire
Alors que les enquêteurs s'interrogent à voix haute, le premier voisin soupçonné revient sur ses déclarations et avoue avoir dérobé en effet le chiot avec l'aide de la fille du second voisin.
A cet instant, l'affaire commence à s'éclaircir. La jeune femme (23 ans) est contactée et consent à ramener l'animal dans l'après-midi. Aux policiers du groupe de sécurité de proximité (GSP) elle confie avoir volé le chien dans un but uniquement sanitaire, parce qu'il était, à ses yeux, en très mauvaise santé. Elle explique l'avoir emmené dans un dispensaire de la SPA à Petit-Quevilly pour le faire examiner et soigner.
Le chiot est confié à un refuge
De fait, les policiers constataient que le chiot, amaigri, présentait des irritations au niveau du pelage et des blessures légères en dessous des pattes. L'animal vivait dans une courette de six mètres carrés dont le sol est bétonné et recouvert d'immondices et de déjections.
Les auteurs présumés du vol ont été laissés libres, et le chiot a été confié au refuge de la SNPA de Rouen en attendant une décision de justice.
Deux enquêtes ont été ouvertes : une pour déterminer les conditions du vol, une autre à l'encontre du propriétaire pour mauvais traitement à animal.