Un homme de 42 ans, qui venait braquer le bar-tabac Le Maeva, avenue du 14 juillet à Sotteville-lès-Rouen, mercredi 15 janvier en début de soirée, a été interpellé dans des conditions pour le moins spectaculaires. A peine a-t-il franchi la porte de l'établissement, brandissant un fusil de chasse, que le malfaiteur a été pris à partie par les clients et le patron du bar qui ont jeté des chaises dans sa direction avant de parvenir à le désarmer. Un coup de feu est parti à cet instant, mais personne n'a été blessé.
Ce n'était pas une blague !
Les faits. Il est autour de 18 h 30, ce mercredi. Le bar-tabac est illuminé. Six clients sont accoudés au comptoir. Soudain, un homme le visage caché par un foulard et tenant un fusil de chasse dans une main protégée par une chaussette noire fait irruption dans l'établissement. Tout le monde pense alors à une mauvaise blague d'un habitué du bar. Pas pour longtemps, car l'individu est menaçant. Il veut la caisse. La réaction des clients ne se fait pas attendre. Ces derniers empoignent les chaises à portée de main et les balancent à la tête de l'intrus.
Le patron saisit l'arme, un coup de feu part
Le patron intervient à son tour et sans mesurer le danger, saisit le fusil et dirige le canon vers le plafond. Le malfaiteur appuie alors sur la détente et un coup de feu part, heureusement sans blesser personne.
Alerté, le centre d'information et de commandement (CIC) qui gère les appels de police-secours lance un message sur les ondes. Une équipe du groupe de sécurité de proximité (GSP) en patrouille dans le secteur dans le cadre de l'opération anti-hold-up, arrive rapidement au Maéva. Les policiers interpellent le braqueur solidement retenu par le patron, âgé de 57 ans, et les clients du bar.
Un fusil de chasse de calibre 12
L'homme, originaire de Sotteville-lès-Rouen, n'est pas inconnu pour les policiers du GSP : ils se souviennent de l'avoir contrôlé le 7 janvier, au volant d'une Renault Clio. Ce véhicule est d'ailleurs retrouvé à 500 mètres du Maéva, garé dans la rue Louis Ruquier. Les plaques d'immatriculation sont masquées par des sacs en plastique.
Placé en garde à vue, le quadragénaire était toujours entendu ce jeudi matin par les policiers de la brigade criminelle de la Sûreté départementale.
Ce n'était pas une blague !
Les faits. Il est autour de 18 h 30, ce mercredi. Le bar-tabac est illuminé. Six clients sont accoudés au comptoir. Soudain, un homme le visage caché par un foulard et tenant un fusil de chasse dans une main protégée par une chaussette noire fait irruption dans l'établissement. Tout le monde pense alors à une mauvaise blague d'un habitué du bar. Pas pour longtemps, car l'individu est menaçant. Il veut la caisse. La réaction des clients ne se fait pas attendre. Ces derniers empoignent les chaises à portée de main et les balancent à la tête de l'intrus.
Le patron saisit l'arme, un coup de feu part
Le patron intervient à son tour et sans mesurer le danger, saisit le fusil et dirige le canon vers le plafond. Le malfaiteur appuie alors sur la détente et un coup de feu part, heureusement sans blesser personne.
Alerté, le centre d'information et de commandement (CIC) qui gère les appels de police-secours lance un message sur les ondes. Une équipe du groupe de sécurité de proximité (GSP) en patrouille dans le secteur dans le cadre de l'opération anti-hold-up, arrive rapidement au Maéva. Les policiers interpellent le braqueur solidement retenu par le patron, âgé de 57 ans, et les clients du bar.
Un fusil de chasse de calibre 12
L'arme est saisie. Il s'agit d'un fusil de chasse de calibre 12 à canon juxtaposé. Le projectile utilisé par le tireur est une cartouche Gomme Cogne, une munition non létale composée de balles en caoutchouc.
L'homme, originaire de Sotteville-lès-Rouen, n'est pas inconnu pour les policiers du GSP : ils se souviennent de l'avoir contrôlé le 7 janvier, au volant d'une Renault Clio. Ce véhicule est d'ailleurs retrouvé à 500 mètres du Maéva, garé dans la rue Louis Ruquier. Les plaques d'immatriculation sont masquées par des sacs en plastique.
Placé en garde à vue, le quadragénaire était toujours entendu ce jeudi matin par les policiers de la brigade criminelle de la Sûreté départementale.
Trois autres hold-up au mode opératoire similaire
Les policiers en charge des investigations sur ce hold-up au Maéva ne vont pas manquer de faire des rapprochements avec trois autres vols à main armée commis ces dernières semaines dans le même secteur, à Oissel et à Saint-Etienne-du-Rouvray. Dans les trois cas, il y a beaucoup de similitudes quant au mode opératoire : toujours un mardi, le matin ou le soir, l'arme est un fusil...